« Aujourd’hui, la France accuse, en termes de valorisation de la recherche, un retard de l’ordre de 7 à 10 ans par rapport à l’Allemagne, la Belgique ou la Grande-Bretagne et d’une trentaine d’années par rapport aux États-Unis ou à Israël. Des mesures très simples et dictées par le bon sens nous permettraient de rattraper ce retard. »
L’importance de l’innovation n’est plus à démontrer mais comment la compétitivité de la France peut-elle être « dopée » ? La recherche est-elle une piste intéressante ?
Anne Dumas, chercheur à l’INSEAD a rédigé « une contribution au débat », téléchargeable sur le site de l’Institut Montaigne, qui peut être envisagée comme une base au débat! C’est à vous !
Une des premières mesures à considérer pourrait être de :
– Constater que l’argent public finance l’essentiel des travaux des thésards et chercheurs.
– L’Etat peut donc en général assumer la propriété au moins partielle de la plupart des travaux.
– L’Etat pourrait donc négocier de sorte à favoriser la diffusion maximale des travaux de recherche, par exemple, en autorisant leur libre reproduction.
Il faut avoir essayé de se procurer une thèse ou un mémoire de maîtrise dans une université pour comprendre le temps qu’il faut perdre pour parvenir à se procurer un tel document, pour se retrouver ensuite incapable de l’exploiter faute de disposer d’un simple droit de reproduction !
L’innovation a prouvé son éfficacité en Inde! La recherche est forcément un moyebn d’y arriver mais tout dépend ce que l’on recherche!!!
Effectivement faire publier sa thèse,c’est la quadrature du cercle.Et comme le signale "l’agent" les travaux devraient etre plus accessibles aux uns et aux autres.C’est une des conditions qui permettrait d’avancer .Les Américains sont très forts en anthropologie.Ils venaient régulièrement se plaindre à moi du coté non seulement fruste mais hatif des travaux.Dans ce cas précis,il s’agissait du choix des esclaves en Afrique au I8 et 19 siècle à cause de leur compétence métallurgique. Fonderie des métaux,comme le cuivre et l’étain…J’ignorais totalement ces faits au Togo en 1983.C’était un exemple ignoré ou l’Afrique enseignait au nouveau monde comment etre moderne.
Je n’ai pas le temps en ce moment de lire toutes ces documentations dans le détail. J’en ai parcouru une. Je trouve que dans les production de l’Institut Montaigne, il y a des idées, mais d’une manière général, ce n’est pas assez creusé.
C’est juste mon avis.