La présidence de la Commission des finances sera donc confiée à l’un des « pères fondateurs de la LOLF » qui, j’en suis sûr, ne manquera pas d’exercer ses nouvelles fonctions avec rigueur et sérieux.
Le fait de confier ce poste stratégique à un membre de l’opposition est un évènement nouveau qui ne nous permet pas de commenter plus amplement le fonctionnement qui en découlera même si l’on peut dès à présent se réjouir des compétences du futur Président de la Commission des finances de l’Assemblée. Je lui fais une confiance totale pour installer cette nouveauté institutionnelle dans l’intérêt général et le consensus républicain.
Est ce un hasard si N.S. l’avait annoncé durant la campagne ? Voila une belle fonction qui va échoir à Didier MIGAUG gràce au travail accompli en commun avec Alain LAMBERT ….
Gagné
Réjouissons nous en effet de l’attribution de ce poste à un des députés de l’opposition des plus, si ce n’est le plus compétent en matière budgétaire. Sur ce, bon vent à Monsieur Migaud, souhaitons qu’il exerce sa fonction avec le respect de l’Intérèt général
Une collégialité de la présidence pour les co-fondateurs de la LOLF … De toutes façons ,l’esprit en est sauvé!Je m’en réjouis.Il n’en reste pas moins,un mélange des genres.
Excellente nouvelle. Souhaitons que ses vice-présidents soient solidaires dans leur travail en direction de l’administration et de sa culture de moyens.
Didier Migaud à ce poste … Il y aurait avoir bien pire. C’est à mon sens une bonne chose d’avoir un homme d’ouverture (au milieu de la mélée, bien sûr).
M Migaud est fabiusien disaient-ils à la radio. Comme M Fabius a été protectionniste sur les grandes fortunes basées sur les oeuvres d’art, cela veut dire qu’il est de droite, pas comme M Kouchner qui est lui UMP de gauche ou M Besson qui est socialiste de droite ou M Santini centriste UMP ou Bernard Laporte, sportif politique (de droite). Il y en a qui suivent ? J’ai parfois du mal.
Au delà de la blague, ce mélange des genres est une bonne chose car ils sont jugés sur la dynamique et non sur leur appartenance qui entraine l’immobilisme.