En meeting de lancement de campagne de mon amie Sylvia Bassot, Député de l’Orne, je n’ai pu suivre en direct la dernière intervention du Président Jacques Chirac. Vous trouverez cette allocution sur ce billet. J’aimerais connaître votre propre sentiment sur les 12 années de mandat du Président de la République sortant. Disons les choses franchement, je conserve pour ma part un souvenir insatisfait sur ses arbitrages en matière de redressement de nos finances publiques. Et l’impossibilité d’avoir pu avoir un vrai et sincère échange avec lui sur le sujet. En revanche, il me semble incontestable que le bilan en matière d’affaires étrangères est infiniment meilleur. Merci d’avance pour vos commentaires.
je me réjouis, ô combien, de sa disparition de l’espace public , dernier (je l’espère) d’une espéce politique qui a fait tant de mal à ce pays. Je suis convaincu que ce fut le plus mauvais des Présidents et on se souviendra qu’il a coûté à la France 5 ans de socialisme par erreur de vision économique (il n’y a rien compris pas plus qu’en matière d’entreprise ou même de cybernétique).
En outre j’espère qu’il enterre cette OPA de la haute fonction publique sur l’Etat.Finalement il aura justifié ce que Mitterrand disait de lui lors qu’il fut élu, qui fut publié en première page de l’Express et qui couta son job à Ockrent: "il ne sera jamais un homme d’Etat" et "je lui donne 6 mois pour se couvrir de ridicule"…ce fut AJ droit dans se sbottes qui offrit au peuple cette ruineuse confirmation .
Qui leur imputera ce serreurs, non ces fautes graves de gestion de la France?????L’Histoire sans doute. Alors bye bye et OUF!
Mr Chirac, c’est vrai restera dans l’histoire comme le président qui a dit non à la guerre; il a fait un peu trop à mon goût peu avancer les choses dans notre vie quotidienne; j’ai écris depuis presque un an des notes dans un blog contre les ponctionnaires; je viens d’être censurée par l’hébergeur et pourtant, malgré des notes très acides envers eux, vous pouvez constater en allant le lire que j’ai de quoi me plaindre!
lesfonctionnairesmontuer….
je suis contente de l’élection de notre nouveau président mais, vu la tournure qu’il donne déjà a sa façon de procéder, je commence à me faire du souci; mais, bon, etant donné qu’il y aura parité, c’est déjà un bon point; de plus, il a de la poigne, il saura j’espère tenir tous ces gens de gauche qu’il veut nous glisser parmi les 15
A lire dans Challenges de cette semaine le très bon papier de Anne-Sophie Ballaiche et Ivan Best sur le bilan de Jacques Chirac. Sous le titre "La France que Chirac laisse à Sarkozy", les deux journalistes concluent que "le président Chirac a tenu une bonne partie des promesses faites par le candidat Chirac en 2002".
Intéressant de voir qu’une fois les poncifs sur le "faible bilan intérieur" épuisés, il est désormais temps de se pencher sur les chiffres. Et ceux-ci sont beaucoup plus flatteurs que certains voudraient le laisser entendre.
Baisse de l’impôt sur le revenu, évolution des déficits, relance de l’emploi, réforme des retraites, etc. : laissons parler les chiffres !
J’ai 32 ans, et l’effacement de cet homme de la scène publique représente surtout pour nous l’espoir que la gérontocratie, qui était jusqu’à maintenant la norme, soit enfin révolue.
Notre pays, notre génération a besoin d’hommes et de femmes ancrés dans la réalité, moins distants, capables d’appréhender le monde tel qu’il se construit au jour le jour.
C’est d’ailleurs cette génération de trentenaires, balotée depuis sa tendre enfance dans les alternances politiques, qui regarde aujourd’hui la politique d’hier (incarnée par Jacques Chirac) avec la distance, le réalisme et surtout le pragmatisme qui lui sied.
Pas sûr que Nicolas Sarkozy ait été adoubé par passion, mais plus par réalisme. A lui de prouver qu’il est digne de confiance et qu’il saura se montrer digne des attentes.
Au revoir Monsieur Chirac, et merci d’avoir laissé la place aux jeunes.
Il est incontestable qu’il aura parfaitement rempli sa mission en matière de politique internationale. Et c’est cela que l’on retiendra de lui. Je pense que personne ne peut lui retirer ce crédit.
Pour autant, il est vrai qu’en matière de politique intérieure, il n’aura pas, à mon sens, fait suffisamment montre de détermination et de "poigne" sur certains sujets. Peut-être même aura-t-il été trop absent sur certains sujets sensibles, exposant alors trop facilement le 1er Ministre.
Avec Nicolas Sarkozy, les choses se feront différemment : il ne se gardera pas uniquement ce domaine réservé qu’est la politique étrangère; mais il saura rester responsable de la politique intérieure qui sera menée et il saura donner une certaine impulsion à cette dernière.
Nous sommes, français, toujours à le recherche de l’absolu, de l’excellence, de l’universalité, parfois de l’utopie. Il y avait beaucoup de réformes à faire, certaines ont été réalisées. M Chirac a été un président de tous les français, un président engagé, peut-être plus fatigué vers la fin de son mandat, mais un président qui a fait un certain nombre de réformes, qui a défendu la position de la France à l’étranger. Il a pris des options politiques qui ont été bonnes en grande majorité. Pour quelques dossiers, il y a eu des erreurs, mais je respecte notre ancien président, je suis un peu triste de le voir partir, mais c’est un jugement plus humain que politique. Je n’ai pas été un proche collaborateur, peut-être m’aurait-il séduit puis déçu, je n’ai pas d’avis. Mais, l’heure n’est pas à la fin de mandat.
Les amis, nous allons maintenant passer à la nomination du nouveau gouvernement.
"La France est un pays qui adore changer de gouvernement à condition que ce soit toujours le même." Honoré de Balzac, ancien clerc de notaire. Avait-il raison ?
Pensez-vous que le nouveau gouvernement qui va se mettre en place va finalement être le même ?
Il a de mon point de vue beaucoup de changements en train de s’opérer. Ils sont dans le prolongement de ce que nous sommes en train de vivre depuis cette campagne. Nicolas Sarkozy, en refusant d’avoir des sujets tabous, nous réapprend le débat, nous réapprend à nous poser des questions en dehors de toute idéologie. J’ai un peu l’impression qu’il mène à notre profit une psychologie de groupe pour nous redonner des repères, les valeurs que nous avions perdues. Cela fait du bien car cela nous redonne confiance, des plus anciens aux plus jeunes.
Lorsqu’il dit qu’il s’ouvre vers les gens de sensibilité de gauche, je le sais totalement sincère car j’ai compris sa démarche. C’est aussi qu’il se sent la capacité de le gérer. Il m’impressionne.
Certains autour de moi ne comprennent pas l’ouverture à gauche parce qu’ils avaient l’habitude de l’affrontement de ces deux blocs. S’il y a des ralliements, pour eux, il s’agit là de "magouille de compagnie".
Cette ouverture, dans le prolongement de ce que je disais plus haut, doit être bien accompagnée pour qu’elle soit comprise. D’ailleurs, d’une manière générale, je pense que le nouveau gouvernement va devoir continuer ce qui a été mené jusqu’à présent pendant la campagne, c’est-à-dire une politique de communication, mais bien au delà, une démarche d’accompagnement pour nous faire être autrement.
Qu’en pensez-vous ?
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Impossible de pardonner à Chirac d’avoir introduit Sarkozy
Il etait inutile de s’opposer a la guerre en Irack, si nous devons avoir pour ministre des affaires etrangeres le seul homme de »gôche" qui fut , ouvertement, un partisan de la guerre contre l’Irack
Les ministres socialistes sont sollicités selon leur compétence:Monsieur Kouchner est atlantiste.Tout comme l’était Monsieur le Président Mitterand… Notre nouveau Président ,Monsieur Sarkosy ,sent bien la nécessité d’une Europe forte et que l’Allemagne et la France en sont les moteurs principaux…
j’abandonne le pseudo. A vrai dire je ne sais pourquoi j’avais opté pour .
Bref, je vois an Sarkozy une réussite exemplaire qui valide positivement mon échec. Cela tient à une force exceptionnelle jointe à une qualité importante, celle de fils d’immigré donc non porteur d’un poids historique qui accable tant de français. J’en sais quelque chose car , débarquant en France après l’indépendance d ela Tunisie, j’ai vécu ce statut là, bien que Français.
J’avais acquis à Carthage un amour immodéré pour mon pays et j’ai voulu, à ma manière mais trop tôt, sans la force nécessaire sans doute, le transformer (modestement (enfin pas tant que ça, à l’époque). Je pense que je voulais et pouvais même aller très loin n’avait été un boulet que je m’étais attaché au pied.
Le regard de "l’immigré" et la jeunesse d’êge et surtout d’esprit, aiguisés par les comportements des"français", alliés à cet amour et cette connaissance, me faisaient un devoir d’agir et …évidemment de recevoir des coups. N’avait été le boulet, les coups n’auraient pu être donnés ou auraient été encaissés sans dol devenu définitif.
Il en va ainsi des relations frenco allemandes et j’apprécie cette initiative de NS car il est essentiel que ce couple refonctionne bien. Et les deux personnalités de MERkel et NS sont porteuses d’une nouvelle dynamique européenne, urgente.
De même l’ouverture voulue à gauche car, je l’ai souvent dit ici, la question aujourd’hui n’est plus principalement des affaires intérieures mais des affaires mondiales et avant tout européennes. Il faut en finir avec ce passé d’idéologie post révolutionnaire qui nous a plombés.
C’est donc bien à une cure de rajeunissement tous azimuts que j’espère assister au soir de ma vie qui, oui, en un sens, me justifie. Et ce n’est pas là un témoignage d’orgueil mais de passion pour un pays qui ne méritait pas l’aventure sanglante de la Révolution et de tout ce qu’elle a engendré .
Puissè-je ne pas être déçu encore par les français : nous le verrons assez vite et notamment aux législatives qui doivent impérativement donner un surcroit de poids de légitimité à NS et en aucun cas un affaiblissement "correcteur"!
S’agissant de l’ouverture, pour ma part, je pense qu’elle est conforme à ce qui avait été annoncé pendant la campagne. Elle ne devrait donc pas surprendre. Si elle suscite des débats, c’est parce que parfois nos concitoyens en attendent ou redoutent ce qu’elle ne saurait offrir ou engendrer. Par exemple, l’entrée au gouvernement d’une personnalité d’une autre sensibilité n’apporte que la crédibilité de la personne elle-même et évidemment pas celle de la sensibilité politique à laquelle elle appartient. Généralement elle est mise en œuvre pour élargir la majorité parlementaire. Rarement pour élargir une majorité d’opinion. De ce point de vue, il me semble que l’opinion a choisi clairement les idées et les actions proposées par Nicolas Sarkozy. Elles doivent être mises en œuvre sans tarder. Quels que soient les ministres. Ce ne sont pas eux qui seront jugés mais le Président. Me semble-t-il.
Vous avez raison cher monsieur Lambert. Jacques Chirac aurait fait un parfait ministre des affaires étrangères. N’est-ce pas après tout ce que Nicolas Sarkozy a rappelé dans son premier discours?
Sur le bilan des 12 ans de Chirac, je suis d’accord avec vous.
Sauf que dit autrement, cela peut donner : il ne restera pas grand chose à part des dettes.
Sur ce plan là, Mitterrand avait fait pire ? Oui évidement, mais est-ce une consolation.
Et en matière d’affaires étrangères, peut-on considérer que dilapider l’argent des contribuables en Afrique est une bonne politique ?
Il a pu passer là-bas pour un bienfaiteur de l’humanité (surtout avec l’argent des autres), mais au contribuable français, ça lui rapporte quoi, alors qu’il a déjà des dettes à ne plus savoir qu’en faire ?
Lorsque Jacques Chirac est élu, il représente l’espoir d’un renouveau après 15 ans de Mitterand, qui n’était "qu’une certaine idée de lui même" : l’immobilisme et la sauvegarde des interets des groupes de pression qui s’étaient appropriés l’Etat. Mitterand a sacrifié l’avenir des retraites à la démagogie, l’emploi aux interets des syndicats. Les phénomènes d’exclusion et de paupérisation sont des réalités. Mais loin de faire une révolution à la suédoise, il ne veut toucher à rien. Cet immobilisme est financé par la dette.
Chirac tente quelques réformes de fond, vite abandonnées devant l’opposition notamment celles des fonctionnaires dans la rue. Il en sera de même en 2003.
Au final, il abandonne vite et se réfugie dans les idées fumeuses. Et il y a la terrible ambiguité de 2002, ou J Chirac est élu non pour faire qqchose mais pour être contre quelqu’un. C’était un gage de blocage, en regard du caractere hétéroclite de son electorat.
Bon debarras ..
Il a continué la politique du laisser faire .. Il ne s’est occupé que des sujets qu’il aime … Et a perverti la politique a " faisons plaisir aux copains" ..
Fin de la Gerontocratie , fin de la generation Brejnev
Qu’ il aille repondre de ses magouilles a la Justice ..
a Ornais: et pour conclure avec vous: AMEN, la messe est dite!