Au moment ou la presse se fait l’écho d’une nouvelle étape de la campagne de Nicolas Sarkozy, plus proche des Français, mois ponctuée d’immenses meetings. Plus nourries de rencontres directes, sur le terrain, avec les habitants qui ont l’intention de voter ou non pour lui. Je me réjouis profondément. Car, je connais son contact direct avec autrui, sa capacité à écouter les gens simples, et à répondre à leurs questions, à leurs vraies attentes, sans langue de bois. Cette proximité, il l’aime. Elle convient à merveille à sa nature. Je conserve le souvenir de l’avoir reçu 48 heures dans mon département de l’Orne les 28 et 29 avril 2000. Passer une nuit sur place, cela compte. Il avait joué le jeu de vivre au milieu de nous pendant deux jours. Nous demandant de ne rien changer à nos habitudes. Voulant partager une page ordinaire de vie locale, d’une vraie vie, sans caméras, sans jeu de rôle, à la vraie rencontre de la France profonde. Trois modestes articles de presse retrouvés en témoignent. Les voici :

Une brève sur ses visites diverses.

Sa présence discrète à l’inauguration d’une chapelle réouverte au public.

La rencontre le soir avec les militants de l’UDF et du RPR de l’époque.

Il est souvent revenu depuis, mais nous l’accueillerions encore avec un immense plaisir. Nous sommes restés, comme il y a 7 ans, à ses côtés. Sans jamais nous laisser affecter par les traversées du désert qu’il a dû affronter.