La modernisation de l’Etat doit être l’affaire de tous : le Gouvernement et le Parlement bien sûr, mais aussi les usagers et les fonctionnaires, dont les efforts devront être récompensés. Il convient de mieux associer les Français au processus de réflexion sur la modernisation de l’Etat, dans la perspective de la révision générale des politiques publiques que prévoit l’UMP pour dégager les ressources nécessaires au financement de son projet. Inscrivez-vous sur rgdpp2007@hotmail.fr.En fonction de vos centres d’intérêt, vous serez invités à faire part de vos observations et de vos propositions de réforme, sur la base des rapports d’audits et de contrôle rendus publics par la Cour des comptes, le ministère des Finances et les commissions des Finances de l’Assemblée nationale et du Sénat.
Pour tenir les objectifs de réduction de la dette publique (60% du PIB en 2012) et de maîtrise des dépenses publiques (celles-ci devront augmenter au maximum chaque année de 1,8% en volume) que s’est fixés l’UMP, il est prévu de procéder à une révision générale des politiques publiques pour dégager les ressources nécessaires au financement de son projet.
Il est également prévu de créer un « organisme d’audit et de contrôle » pour donner au Parlement de véritables moyens de contrôler le fonctionnement de l’administration, la maîtrise et la pertinence des politiques publiques. Alain Lambert a plusieurs fois eu l’occasion d’évoquer cette idée inspirée du modèle britannique ou canadien qui a largement fait ses preuves. Didier Migaud et lui ont pu le constater dans le cadre des travaux permanents qu’ils ont menés ensemble sur la LOLF. Ils se sont souvent demandés si la création d’un tel organisme ne participerait pas du rééquilibrage des pouvoirs entre le Gouvernement et le Parlement en matière de finances publiques.
A cet égard, on ne peut qu’approuver les propos tenus par Nicolas Sarkozy dans de son discours du 14 janvier dernier, lors du congrès de l’UMP : « La démocratie irréprochable ce n’est pas une démocratie où l’exécutif est tout et le Parlement rien. C’est une démocratie où le Parlement contrôle l’exécutif et a les moyens de le faire. »
Dans la perspective de la révision générale des politiques publiques que prévoit le projet législatif de l’UMP, nous vous invitons d’ores et déjà à lui faire part de vos remarques et de vos propositions pour réformer l’Etat et améliorer le service public.
Envoyez- nous un message à rgdpp2007@hotmail.fr en précisant vos principaux centres d’intérêt : éducation, social, sécurité, achats, politique immobilière…
En fonction de vos centres d’intérêt, nous vous ferons parvenir par mail une sélection de rapports d’audits et de contrôle rendus publics par la Cour des comptes, le ministère des Finances et les commissions des Finances de l’Assemblée nationale et du Sénat.
Comme cela a été précédemment souligné, ces rapports constituent une véritable boîte à outils pour conduire les réformes, réaliser des économies et mieux utiliser les ressources humaines
Nous vous demanderons de nous faire part de vos propres observations et propositions, sur la base de votre expérience professionnelle ou personnelle.
Vous pourrez ainsi contribuer plus directement à la réflexion engagée dans la perspective de la révision générale des politiques publiques et rejoindre ceux qui, avec Nicolas Sarkozy, préparent la modernisation de l’Etat et l’avenir de notre pays.
Bienvenue à Olivier Guy nouveau chroniqueur sur notre blog !
Monsieur,
je ne comprends pas votre demande. Vous disposez de toute une pile d’études, d’audits et de rapports de la cour des comptes et aussi, via les blogs ces derniers mois, d’une remontée de bien des doléances. Il me semble que cela suffit et qu’il appartient aux responsables élus et payés pour d’agir comme dans n’impoirte quelle entreprise.
La question est donc maintenant : comment gagner, avec une majorité nette, décisive et engager enfin un projet pour une nouvelle France, une France rénovée, une France enfin dans le cours du fleuve. En d’autres termes vous avez peu de temps pour développer une pédagogie claire, compréhensible, incitative.
Le refuge dans le social et le maternage est le plus grand ennemi des français actuellement et c’est le registre exact de SUPERMAM (je voudrais que l’on me dise d’ailleurs quelles sont les caractéristiques d’une maternité assurée en plus de responsabilités nationales de parti, de responsabilité de député et de Présidente de conseil Régional et de candidate. Ce miracle là mériterait, me semble-t-il d’être exploré puisque la candidate s’en prévaut!
Bienvenue à Olivier.
Je relève la volonté de créer un "organisme d’audit et de contrôle". Je ne peux qu’approuver fortement un tel projet qui participe d’une saine régulation de l’activité publique que j’ai souvent appelée de mes voeux, et qui apparaît clairement comme le complement indispensable de l’action de contrôle parlementaire prévue par la LOLF.
La fonction publique (et beaucoup d’entreprises) est trop hiérarchisé et pas assez informatisé. Il faut découpler totalement l’organisation hiérarchique et le système d’information. Cela évite les l’inefficacité considérables dû aux pertes en lignes de l’information cheminant péniblement de chefs en subordonnées avec au passage une bonne proportion de rétention d’information.
C’est le mécanisme principal de a bureaucratisation. Et généralement, pour palier ce problème, on recrute encore de nouveaux administratifs ce qui ne fait qu’empirer le problème.
vu d’en bas ! beaucoup trop de commissions, sous-commissions, projets, contre-projets, rapports, comités, associations etc..
CELA PEUT EXPLIQUER la lenteur , l’inefficacité et parfois le manque de cohésion entre les différentes entités.
La fonction publique devrait faire l’objet d’une remise en question, de façon à être mieux adaptée à l’évolution actuelle de notre Société.
IL serait peut-être souhaitable également que les décisions prises soient quelquefois plus cohérentes. petit ex. vous êtes "diabétique" traité à l’insuline suite à la maladie : pas de problèmes prise à 100% à vie, vous êtes "diabétique" ,toujours traité à l’insuline ,suite à un accident du travail (écrasement de l’abdomen et amputation d’une partie du pancréas : vous devez chaque année refaire une demande(le délai pour vous renvoyer la prise en charge peut atteindre jusqu’à 2 MOIS ? cela doit repasser au contôle médical !) pendant ce laps de temps, si vous avez besoin de soins en relation avec votre handicap il faut se débrouiller, soit avancer les dépenses, soit demander aux professionnels de la santé d’attendre !
POURQUOI TOUJOURS CES LOURDEURS, et quand vous demandez "pourquoi", on vous répond c’est comme ça.
IL EST URGENT DE FAIRE EN SORTE QUE LES RESPONSABLES DES ADMINISTRATIONS FASSENT REMONTER LES ANOMALIES et QUE DES AJUSTEMENTS SOIENT REALISES, cela éviterait beaucoup de désagréments et de perte de temps.
Dans chaque "administration" ne pourrait-on pas créer un service spécial pour prises de décisions rapides lorsqu’il y a des sujets discordants évidents ?
il faut moderniser notre fonction publique, la rendre plus accessible, plus fonctionnelle, plus rapide, plus cohérente etc.. il y a des solutions et certainement beaucoup de bonne volonté de la part des Agents, mais faut-il encore que le sommet réagisse.
Monsieur Lambert,
Vous avez été au budget, vous devez donc mesurer à quel point les personnels politiques ignorent les réalités du terrain en ce qui concerne les besoins des PME et singulièrement des grosses PME, poumon d’un Pays.
L’Allemagne à trois fois plus de grosses PME que la France, je suggère que vous fassiez venir une dizaine de gestionnaires (pas nécéssairement le PDG) de PME, pour orienter vos réflexions sur du concret, car Mme Parizot est un peu top CAC 40 à mon goût.
La dépénalisation du travail et la libéralisation du travail n’ont rien à voir.
La libéralisation du travail c’est permettre aux patrons de gérer leur embauche au gré de leurs besoins et ça je suis pour, à condition que comme au Danemark cela soir compensé par un très haut plancher de chomage et un suivi que l’ANPE française est incapable d’assurer.
La dépénalisation du travail n’a aucun rapport et consiste (encore comme au Danemark, pays de droite) à ne pas prélever de charges sur le travail afin de presque diviser par deux le prix de la main d’oeuvre (par rapport à la France) et rendre les entreprise compétitives et booster l’embauche. Bien sûr l’assiette totale d’impôt ne pouvant bouger pour cause de déficit national, il faut tranférer les prélèvements sur les bénéfices, la taxe pro, la TVA, la TIPP, les taxes sur les produits de luxe, etc. et les revenus.
C’est une solution de reprise économique immédiate garantie, utilisée partout où çà repart , proposée par Borloo et dont ni SAPIN (qui préfère les cercueils), ni BRETON (qui a la tête dure) ne veulent. Le premier parce que c’est trop à droite, le second parce-que c’est trop à gauche.
Il y aussi le parcours du combattant lorsque vous souhaitez joindre un interlocuteur précis ou responsable : " ah excusez-nous M. ou Mme X est en réunion ou bien absent ? ."
A quoi servent les audits, les contrôles ? ILS DOIT Y AVOIR DES CONCLUSIONS et des REMISES en CAUSE …..
parfois il suffirait aussi d’écouter peut-être un peu plus les utilisateurs de la "fonction publique"
ce billet n’a nulle intention de blesser, mais il suffirait parfois d’un peu de meilleure volonté et surtout de beaucoup plus de bon sens pour éviter que cette grosse machine se mette au ralenti.
MAIS EST-CE UNE SITUATION SOUHAITEE PAR DES HIERARCHIES VOULANT GARDER LEURS PREROGATIVES …..?
il faut noter aussi le dévouement de certains, mais peut-être prennent-ils des risques en oubliant de se mettre à l’ombre de leur parapluie ?
il y a quelque chose à faire pour que les administrations n’apparaissent plus comme un monde impénétrable.
en résumé, une remise à plat est nécessaire si l’on ne veut pas s’embourber encore plus….il y a trop d’intermédiaires, chef de service, sous-chef de service, adjoint au chef de service, adjoint au sous-chef ….ON POURRAIT FAIRE MIEUX EN RESPONSABILISANT REELLEMENT CHACUN, car actuellement si l’un de la chaine est absent, c’est la machine toute puissante qui s’arrête car il ne faut surtout pas empiéter sur le terrain du voisin.
La fonction publique pourrait prendre comme modèle le fonctionnement d’une importante Société où l’on exige des résultats concrets et rapides.
il est évident que la fonction publique a une lourde charge et que rien n’est forcément simple, mais essayons de l’alléger un peu.
la FONCTION PUBLIQUE ???????
il ya beaucoup de grains de sable dans cette bétonnière.
IL EST URGENT d’alléger, de désengorger, de responsabiliser , de décloisonner, de "decoincer", de fusionner certains services, en FAIT DE MODERNISER.
Ca ressemble à un débat participatif, ça…! On s’inscrit, on donne son avis sur un sujet précis en fonction de nos centres d’intérêts et de nos compétences, et les politiques s’en emparent et essayent de répondre au besoin soulevé…
Comme quoi l’UMP reprend parfois les bonnes idées de Ségolène… (une de ses rares bonnes initiatives….)
Un organisme d’audit et de contrôle ? Pourquoi pas mais comment se positionnera t-il par rapport à la Cour des Comptes et tous les observatoires créés depuis quelques années ?
N’existent t-il pas d’auditeurs internes dans les ministères et les administrations.
Détecter les dérives : parfait mais en éliminer les causes est mieux.
L’informatisation est certainement un excellent outil à condition qu’elle ne devienne pas une usine à gaz pour gérer le Royaume d’Ubu.
Exemple :
Aides aux entreprises
Analyser les processus
Quelles sont elles ? Aides et Entreprises
Qui est impliqué ? Miistères, Préfectures, Collectivités, Chambres de Commerce ou d’artisanat, Associations etc…
Mesurer les coûts de traitement des dossiers
Quel retour sur investissement ? : Emplois, Impôts etc..
Etc…..
Je ne vais pas faire un cous de démarche qualité et/ou de cost killing, ne France il y a plein de compétences dans ces domaines…………
Il y a plein de seniors du privé pragmatiques qui ne demanderaient qu’à proposer leurs services bien sûr rémunérés………….comme dans tout système libéral (au sens positif du terme)
Et si les causes principales détectées étaient la complexité des dispositifs, l’absence de compétences pour traiter les dossiers, la dilution des responsabilités, serait on prêt à réformer, simplifier, à trancher dans le vif des aides ou des organismes impliqués ?
Politiquement il est souvent plus aisé d’empiler les mesures "annonces" que de les supprimer.
En réponse à Bernique Funambule, voici quelques précisions sur l’initiative d’ouverture lancée par Alain Lambert.
Comme le souligne avec raison Bernique Funambule, les rapports d’audits et de contrôle sur le fonctionnement de l’Etat et les services publics ne manquent pas. Ils ont même trop souvent tendance à s’empiler sur les bureaux, voire dans les tiroirs.
Ce dont nous avons d’abord besoin, c’est d’un meilleur suivi politique de ces rapports. C’est le sens des auditions organisées par les commissions des Finances du Sénat et de l’Assemblée nationale à la suite de la publication des enquêtes de la Cour des comptes. C’est aussi le sens de l’initiative inédite lancée en mai 2006 par le groupe UMP du Sénat, à l’initiative d’Alain Lambert et de Philippe Marini, rapporteur général de la commission des Finances de la Haute Assemblée. Cette initiative a permis d’associer 90 sénateurs issus de différentes commissions (et non plus seulement de la commission des Finances) dans une démarche de contrôle des suites concrètes données aux audits de modernisation lancés par Bercy.
Mais nous avons également besoin d’un regard « extérieur » sur les rapports d’audits et de contrôle, de manière à sortir du dialogue traditionnel et parfois un peu conformiste entre les cabinets ministériels, les administrations centrales et les institutions qui élaborent ces rapports (Cour des comptes, commissions des Finances du Parlement, corps d’inspection…).
C’est le sens de la nouvelle initiative d’ouverture que vient de lancer Alain Lambert, dans la perspective de la révision générale des politiques publiques que prévoit l’UMP pour dégager les ressources nécessaires au financement de son projet.
En vous proposant de nous faire part de vos propres observations et propositions sur les rapports d’audits et de contrôle de votre choix, en fonction de vos centres d’intérêt, nous voulons élargir la réflexion au-delà des cercles traditionnels.
Nous comptons sur votre expérience professionnelle ou personnelle, que vous soyez fonctionnaire, partenaire ou simple usager des services publics concernés, pour compléter ou même contester les rapports que nous vous ferons parvenir, et ainsi mieux préparer la modernisation de l’Etat et l’avenir de notre pays, concrètement et ensemble.
Nous vous invitons à rejoindre ceux qui ont déjà adhéré à cette démarche d’ouverture et de modernisation, en envoyant un message à rgdpp2007@hotmail.fr et en précisant vos principaux centres d’intérêt : éducation, social, sécurité, achats, politique immobilière, aides aux entreprises, informatisation…
Alors, là aussi, ensemble, tout deviendra possible…
Monsieur Lambert,
Au vu et au su de tout ce qui à été dit, on voit qu’il y a du pain sur la planche.
Je crois aussi que le travail étant immense beaucoup de fainéants choisisent de rajouter une feuille au mille feuilles plutôt que de tout reprendre à 0.
Les doublons et les triplettes de compétences font rage à tous les niveaux (Etat, Région, Département, Commune).
La cour des comptes publie chaque années des listes fantastiques de gâchis financier, et il faut bien dire que 99 fois sur 100 celà reste lettre morte.
Il nous faut une Thatcher en FRANCE qui remette tout à plat et nous allons avoir des "millefeuilles adicts" à la place avec le BRETON et le SAPIN.
Il y a désormais bien assez longtemps que je n’ai pas sorti ma vieille rengaine pour la rejouer :
Il y aurait beaucoup à dire sur la plupart des rapports de modernauditation de Bercy, de la Cour des Comptes, de innombrables inspections plus ou moins générales. Mais, comme par hasard, ceux les mieux placés pour les commenter, c’est à dire, les fonctionnaires dont le travail fait l’objet de tous ses rapports, sont tenus de rester muets et de ne commenter en aucun cas.
Au lieu d’enfiler des lois sur la sécurité comme on enfile les perles, un petit texte tout simple, définissant le cadre du droit de libre expression du fonctionnaire, serait bienvenu.
A Monsieur Guy
Je ne vous connais pas (pourriez vous nous dire qui vous êtes ?). Je me présente : j’ai 66 ans, HEC de formation et je crois disposer d’une très grande variété d’expériences comme dirigeant d’entreprise, entrepreneur, consultant et acteur social… exercées dans une vingtaine de pays principalement occidentaux.
Je me caractérise comme provocateur, anticonformiste, réformateur et très engagé. C’est dans cette cohérence que je contribue au débat publique mais, évidemment, dans une approche de philosophie logique qui est à la fois conclusive et initiatrice d’actions.
Ce blog étant celui de Monsieur Lambert pour lequel j’ai de l’estime, il est libre de choisir ses intervenants/chroniqueurs présupposés très professionnels pour les « forumeurs » .
Cela étant dit je maintiens mon observation. On ne peut tout de même pas demander « au peuple » des compétences (et même le temps) qu’il n’a pas sauf à vouloir cacher la forêt ce qui s’appelle démagogie.
Cela reviendrait à dire que les salariés d’une entreprise auraient leur mot à dire sur tout ce qui concerne celle-ci (d’ailleurs les botes à idée ont toujours été des échecs en raison justement de l’incompétence). Or la règle de l’incompétence universelle se développe à mesure que l’on descend la hiérarchie ou de la réduction du champ de compétence.
Ou pire aux actionnaires.
Cela reviendrait à établir des cahiers des doléances…ce qui ne répond pas aux nécessités de l’heure et qui ne mènent à rien si ce n’est à l’insatisfaction et donc au chaos.
Non ! Il faut raisonner comme une entreprise, sachant bien que l’on ne peut pas dire toute la vérité mais que l’on ne doit pas mentir.
Tout ce qui est d’homme est identique et, de ce fait même, répond aux mêmes règles, aux mêmes exigences. C’est le référent universel.
Donc Considérons le citoyen comme un actionnaire qui choisit ses dirigeants directement et indirectement au quel il faut rendre compte de manière explicite et claire et comme un salarié (pour la plupart) qui doit exécuter au mieux ses responsabilités et sa mission, sa sécurité étant assurée par les syndicats qui doivent eux-mêmes êtres très professionnels.
Pour l’Etat il y comme pour une entreprise quelconque des organes de direction, d’exécution, de contrôle, d’audit et de ratification des résultats, répondant à une autorité : le conseil d’administration.
Il appartient donc aux agents politiques choisis par le peuple de veiller à la mis en place de ces organes, basiques, et de rendre au compte au peuple au moyen d’instruments de communication bilancielle claire, intérimaire et quinquennale (élections ; la simultanéité de l’élection présidentielle et législative est peut-être une erreur…ou, sans doute, l’élection du Président au suffrage universel.).Ils sont élus et payés (s’il le faut on peut soit augmenter leur rémunération en exigeant plus d’eux et en interdisant les cumuls soit leur donner les moyens financiers appropriés à leur mission quitte à ce qu’ils en délèguent l’exécution à des experts).
En fait la règle de fonctionnement démocratique d’une nation est et doit être extrêmement simple et en tout état de cause doit exclure toute forme de démagogie.
Chacun à sa juste place, chacun faisant l’objet d’un contrôle approprié, tout contrôle devant être spécifique et collectif.
J’ai proposé, mais voila assez longtemps, la tenue d’Etats Généraux sous une forme ou une autre. Cette question est maintenant dépassée. Il faut en venir aux fondamentaux : la situation, les remèdes, les moyens, le calendrier.
La voie prise, notamment par les candidats et principalement la candidate doit de ce fait être dénoncée. C’est une illusion tragique. C’est un dévoiement du fonctionnement démocratique.
Désolé, c’est un peu long mais il s’agit d’un résumé de principes intangibles, l’échec venant toujours plus ou moins gravement pour tous sanctionner les manquements.
Cessons enfin cette pratique française: pourquoi faire simple puisqu’on peut faire compliqué?
A L’Agent :
Les hauts fonctionnaires parlent puisque ils ont les postes clés de la politique soit en tant qu’élus dans les assemblées, soit en tant que ministres ou membres des cabinets.
Je sais que les fonctionnaires cadres intermédiaires doivent se taire, pris en tenaille entre l’énarchie, les catégories B ou C, les élus et les syndicats.
Je sais qu’ils ont les solutions pour moderniser l’Etat puisqu’ils vivent le réél.
Nous sommes dans un pays ou le conceptuel (réservé à l’élite) l’emporte sur le pragmatisme de ceux qui font tourner nos usines à gaz et qui perdent au fil du temps leur enthousiasme à force de voir que leurs préconisations rejetées.
Le livre d’Ichak Adizes (LES CYCLES DE VIE DE L’ENTREPRISE 1991) est toujours d’actualité : la mort d’une organisation est toujours précédée par deux cycles : les période aristocratique et bureaucratique.
Les rapports ne servent à rien, car ils visent seulement à réformer l’organisation hiérarchique. C’est parfaitement inutile.
Le seul moyen de changer les choses est d’organiser un système d’information en réseau (à base d’informatique principalement) entre les différentes administrations, entre elles et entre les citoyens. Ainsi, chaque fonctionnaire disposera de l’ensemble des informations nécessaire à l’accomplissement de sa tâche, au service des citoyens. Il sera ainsi largement plus motivé car efficace, ce qui nécessitera en plus beaucoup moins de monde pour un travail de meilleure qualité.
Et quand on voit la difficulté qu’a l’administration de reloger une centaine de SDF et que cela doit passer par les ministres eux même pour que quelque chose bouge, on mesure l’ampleur de la sclérose !
Les hommes ne sont pas en cause, c’est l’organisation qui est déficiente.
La réforme de l’état : Tarte à la crème récurrente des veilles d’élection, qui passe aux oubliettes dès le lendemain !
Ni la droite ni la gauche sont prêtes à affronter la grogne des fonctionnaires, la remise en cause du statut de la fonction publique dont l’archaïsme n’est – étrangement – dénoncé par aucun candidat.
Les hommes politiques seront plus crédibles le jour où ils s’attaqueront à leurs propres privilèges avant d’exiger des français les efforts qu’ils ne se demandent pas !
Si vous voulez permettre à une bonne partie de la population de se faire une opinion objective de la situation actuelle de la France et de son futur , il est prioritaire de faire , avant tout , de la pédagogie .
Quelques exemples:
– Les médias "parlent" , à longueur de journée , de PIB , déficit commercial, budget de l’état , dette , etc …, sans en donner la moindre signification : peut être que la plupart des journalistes l’ignorent eux mêmes ! il serait judicieux , en regard de chaque terme , de donner une définition simple et concrète et surtout de bien montrer leur incidence sur notre vie de tous les jours !
-Il serait "bon de rappeler" en quoi consiste la croissance ( consommation , investissement , exportation..)le budget de l’état , son financement , ses dépenses , ses recettes , son déficit annuel , la dette accumulée au fil des années , les emprunts que nous contractons et les intérêts que nous réglons à l’image de tout ménage français .. et que devons rembourser !
– Il serait "bon de rappeler ", régulièrement, ces notions à l’occasion des différents débats en n ‘hésitant pas d’établir des comparaisons chiffrés de nos différents postes budgétaires avec d’autres pays européens et en faisant ressortir les ratios de coût et de performances correspondants . l Nous pourrions citer l’éducation nationale , la fonction publique dans ses différentes composantes …
– Tous les montants sont exprimés en Euros : pourquoi ne pas communiquer , systématiquement , son équivalence en francs , pour permettre une meilleure assimilation et réactivité de la population !
-Concernant l’Euro , il serait "bon de rappeler" que si nous avions conserver le Franc , quelle serait aujourd’hui sa parité par rapport aux autres monnaies , compte tenu de nos déficits commerciaux et budgétaires , et auquel cas quel serait le coût de nos importations et son incidence sur le budget de la ménagère ….
– La mise à disposition de ces outils pédagogiques auprès des intervenants politiques et médiatiques serait certainement une avancée dans le débat d’aujourd’hui et éviterait , peut être , les dérapages et excès de promesses que nous entendons aujourd’hui!
Voici mon profil: j’ai une quarantaine d’années et travaille au sein du Parlement, ce qui fait de moi un observateur privilégié de la réforme de l’Etat et des missions de contrôle et d’évaluation des politiques publiques exercées par les députés et les sénateurs. L’initiative d’ouverture proposée par Alain Lambert se distingue nettement des débats participatifs organisées par d’autres. En effet, il ne s’agit pas de rédiger un nouveau cahier de doléances en tous genres, ce qui n’aurait pas beaucoup d’intérêt, comme le souligne très bien Bernique Funambule. Il s’agit au contraire de recueillir vos observations sur des rapports d’audits et de contrôle précis que nous vous ferons parvenir en fonction de vos centres d’intérêt. Cette démarche d’ouverture se veut donc concrète et opérationnelle, afin d’éclairer ceux qui auront à prendre des décisions importantes dans quelques mois, dans le cadre de la révision générale des politiques publiques évoquée précédemment. Elle vise aussi bien ceux qui travaillent au sein de l’Etat et des services publics que ceux qui sont en relation avec eux. Elle s’adresse notamment aux agents et aux cadres intermédiaires de la fonction publique évoqués plus haut par l’Agent et JPM. Nous souhaitons avoir leur regard professionnel et personnel pour sortir la réflexion sur la réforme de l’Etat du carcan institutionnel dans lequel elle reste encore trop souvent prisonnière. Comme l’a souligné Alain Lambert, la modernisation de l’Etat doit être l’affaire de tous : le Gouvernement et le Parlement bien sûr, mais aussi les usagers et les fonctionnaires, dont les efforts devront être récompensés. Nous remercions ceux qui ont déjà accepté d’adhérer à cette démarche concrète et interactive et invitons les autres à les rejoindre en s’inscrivant sur rgdpp2007@hotmail.fr sans oublier de préciser leurs centres d’intérêt. La phase opérationnelle va bientôt débuter.
Tout a fait d’accord avec vous Michael Cosen. De plus depuis quelque temps, tous les citoyens entendent parler des chiffres, de la dette, de la croissance etc. Il serait à présent nécessaire de faire un vrai travail pédagogique de la part des médias pour rendre accessible à la compréhension de chacun des électeurs ces différentes données.
Quand on entend dire par SR que c’est en relançant la croissance qu’elle compte réduire la dette, et que des militants le répètent à l’envi comme si cela était « super génial » – on constate la nécessité de l’exercice.
Cordialement – Catherine
BEAUCOUP DE JOLIES PHRASES, de BONS DIAGNOSTICS, mais où en sommes nous réellement ?quasiment au même point avec pour variante un amendement , un allégement, une abrogation, une aide supplémentaire, etc ..
rien ne bouge, certaines valeurs : courage, travail, honnêteté sont à peine reconnues, voire même détruites par des attraits financiers. Où va t’on ?
on pourra faire des milliers d’audits, mais tant que la notion du TRAVAIL NE SERA PAS RESPECTEE ET ENCOURAGEE , toutes les restructurations, aménagements …. ne serviront à rien. On ne colmate pas une crise avec des mots, il faut prendre des engagements et les tenir sans subir les pressions des uns et des autres. A force de ne pas vouloir déplaire on n’avance pas.
L’AVENIR DE L’ETAT est probablement une sérieuse remise en cause dans l’action, les prises de décisions plus justes, plus cohérentes et aussi plus rapides , les comportements(un peu moins suffisants) de certains de nos dirigeants et (ou) de leurs représentants, une parfaite maitrise du volet "social" avec contôle et sans démagogie et surtout relancer l’économie par le TRAVAIL , le travail manuel n’est pas suffisamment reconnu ;il faut aider les petites ENTREPRISES à se développer plutôt que de distribuer n’importe quoi à n’importe qui ?
un peu plus de pédagogie est essentielle pour la compréhension de certaines décisions.
Mais tout ceci n’est pas une nouveauté, il y a de très bons spécialistes pour remédier à tous ces maux, peut-être trop ….CAR LES AUDITS DES UNS contredisent probablement les AUDITS DES AUTRES., un pas en avant, un pas en arrière, d’où l’immobilisme parfois constaté.
LA FRANCE mérite un ETAT responsable, ambitieux, courageux, juste et moderne.
A Monsieur Guy
Admettons…
Il y a cependant un préalable : la mobilisation.
Celle-ci , comme je l’ai souvent écrit ici, exige un préalable pédagogique: La présentation exacte de l’Etat réel de la France et par une présentation aussi pédagogique des enjeux et défis qui sont d’ordre et prévisionnel et – enfin – prospectif (cf Gaston Berger). Cela comprend bien sur la concurrence.
Et cela est de la responsabilité de ceux qui sont engagés en politique et qui ont accés à des synthèses objectives.
Je constate ici et là d’ailleurs que je ne suis pas le seul à le demander voire à l’exiger.
Je voudrais ici dire un souvenir professionnel: J’étais à Shell France entre 1965 et 1970. Shelle Française comptait alors parmi les 5 premiers Groupes français. En 1968, Royall Dutch-Shell a demandé au Groupe Français qui était très en avance en matière informatique d’e ngager une réflexion prospective sur le pétrole à l’horizon de 1985 qui devait avoir pour objet de faciliter des prises de décisions stratégiques pour le groupe mondial.
J’ai fait partie, comme financier, de la petite structure crée alors à cette fin. Et je me souviens de ce travail passionnant qui a fortement contribué aux nouvelles orientations d’investissement de Royal Dutch Shell.
C’est ce qu’il conveint de faire pour ce pays si l’on veut qu’il saute par-dessus ses nombreux retards et engage résolument et de manière réfléchie ses réformes et investissements.
Ce n’est pas difficile. C’est une question de volonté et d’organisation. Nous avons toutes les intelligences nécessaires. Il "suffit" de les fédérer.
A Monsieur Guy
Admettons…
Il y a cependant un préalable : la mobilisation.
Celle-ci , comme je l’ai souvent écrit ici, exige un préalable pédagogique: La présentation exacte de l’Etat réel de la France et par une présentation aussi pédagogique des enjeux et défis qui sont d’ordre et prévisionnel et – enfin – prospectif (cf Gaston Berger). Cela comprend bien sur la concurrence.
Et cela est de la responsabilité de ceux qui sont engagés en politique et qui ont accés à des synthèses objectives.
Je constate ici et là d’ailleurs que je ne suis pas le seul à le demander voire à l’exiger.
Je voudrais ici dire un souvenir professionnel: J’étais à Shell France entre 1965 et 1970. Shelle Française comptait alors parmi les 5 premiers Groupes français. En 1968, Royall Dutch-Shell a demandé au Groupe Français qui était très en avance en matière informatique d’e ngager une réflexion prospective sur le pétrole à l’horizon de 1985 qui devait avoir pour objet de faciliter des prises de décisions stratégiques pour le groupe mondial.
J’ai fait partie, comme financier, de la petite structure crée alors à cette fin. Et je me souviens de ce travail passionnant qui a fortement contribué aux nouvelles orientations d’investissement de Royal Dutch Shell.
C’est ce qu’il conveint de faire pour ce pays si l’on veut qu’il saute par-dessus ses nombreux retards et engage résolument et de manière réfléchie ses réformes et investissements.
Ce n’est pas difficile. C’est une question de volonté et d’organisation. Nous avons toutes les intelligences nécessaires. Il "suffit" de les fédérer.
est-ce qu’enfin, l’ETAT TOUT PUISSANT et SOURD, va reconnaitre ses erreurs du passé? par exemple :
continuer à laisser partir ses plus gros contribuables vers l’étranger, ce qui veut dire que les autres bons contribuables , que nous sommes , devront mettre encore un peu plus la main au porte-monnaie ? car il y aura peut-être des réformes mais en attendant notre pays est bel et bien endetté ! nous avons donc besoins de recettes.
c’est à espérer que l’idéologie ne restera "maitre" de notre futur et que même si certains citoyens, manifestent leurs inquiétudes, ils seront entendus.
comment parler de "solidarité " quand on repousse des rentrées fiscales importantes ? l’un ne va pas ans l’autre.
il serait préférable que nos politiques décideurs prennent le T.G.V. plutôt que le train à vapeur, s’ils ne veulent faire partie du wagon de queue dans le classement européen.
méditer
Une conversation dominicale avec l’héritier de 2 puissantes familles (par son père et s amère) dans le parc du superbe château de sa grand mère: le sujet est la situation de la France…la date? 1981!
Je lui fais part de mes inquiétudes pour ce pays comme il va. Il m’écoute attentivement et: " Tu as raison, Gabriel. Mais, vois-tu, dans "Nos" familles, toutes les dispositions ont été prises pour ne pas être piégés comme la dernière fois: les uns au Canada, les autres aux Etats Unis, d’autres encore au Brésil ou en Argentine. Notre seul problème: prendre l’avion à temps". Depuis j’ai pu vérifier cette déclaration…
Bonjour,
Thomas PAINE proposa au directoire en 1796 le SMIV (salaire minimum de vie), il ne fût pas suivi dans son idée, bien sûr, il parlait de redistribution des richesses pour ne laisser aucun citoyen sur le chemin.
Sans connaître les visions de Thomas PAINE, je réfléchis actuellement à un concept que j’ai nommé le SDV (salaire de vie) dont le but est le même que ce MONSIEUR, supprimer la misère sociale.
Et c’est tout à fait possible, mais pour celà , il nous faut accepter de changer beaucoup de choses.
Réformer l’imposition sur le revenu , l’imposition des sociétés et l’imposition du logement, réformer la TVA.
Supprimer toutes les prestations sociales pour les remplacer par le SDV,
supprimer le SMIC
réformer les retraites
réformer le temps du travail
réformer nos institutions politiques
et j’en oublie. Bref serions nous prêts à imaginer une nouvelle société où chaque citoyen(e) serait assuré de percevoir un revenu mimum existentiel tout au long de sa vie, une nouvelle société ou chaque individu ne resterait pas sans travail, une société qui n’empêcherait personne de s’enrichir mais qui ne laisserait personne s’appauvrir.
J’ai parcouru assez grossièrement les programmes de la droite et de la gauche, ils misent sur un retour de la croissance pour lutter contre le chômage, j’y ai trouvé de bonnes idées à droite comme à gauche mais aussi des mauvaises à mon point de vue , bien sûr,
Ils vont donc chercher à investir de l’argent pour aider les entreprises à créer de l’emploi et redonner du pouvoir d’achat aux français, et je suppose qu’ils vont nous inventer un nouvel impôt déguisé pour financer tout çà et nous allons continuer à nous enfoncer un peu plus.
Sincèrement, je pense que le prochain gouvernement quelque soit sa couleur, n’aura pas le droit à l’erreur, l’explosion sociale n’est pas loin.
Je tiens le pari qu’en 2012 si on y arrive , les politiques nous proposeront la mise en route de l’allocation universelle, vu ce que j’entends et ce qu’ils proposent dans leur programme, tout me pousse à le penser.
Attention ! danger, l’allocation universelle à mon avis sera le moyen pour institutionaliser la précarité et la pauvreté.
Thomas PAINE , j’y reviens et moi-même , mais je n’ai pas la culture et le génie que notre ami possédait, sommes convaincus qu’une redistribution proposée autrement qu’aujourd’hui mettrait fin à la lutte des classes , et au pouvoir de nos dirigeants.
Je me représente la france comme une famille qui doit travailler pour gagner de l’argent, et cette famille avec ses revenus doit pouvoir vivre dignement et protéger ses enfants.
Les revenus de la france lui permettant de vivre dignement sont l’impôt sur le revenu payé par tous les citoyens PERMETTANT le partage, l’impôt sur les sociétés ,bénéfice de son travail, l’impôt logement pour se loger et la TVA pour se protéger des maladies.
Sur cette idée, nous pouvons inventer le SDV
Comment déterminer le montant du SDV pour qu’il soit un véritable salaire permettant de vivre dignement (se loger, manger, se vêtir et se soigner)
Pour déterminer le montant du SDV , nous devons connaître le revenut net moyen par actif et fixer un rapport qui ne changera pas, je l’ai fixé à 40%.
Comment pouvoir se loger avec un SDV à 40% du salaire net moyen par actif ?
En réformant l’imposition logement, en supprimant les impôts liés à l’habitation et en les remplaçant par un impôt logement qui sera de 1% de la valeur du bien .
Comment financer notre protection maladie?
Les recettes de la TVA finceront la ^protection maladie pour tous
Voilà grossièrement le principe du SDV
Mais ceci n’est qu’une partie, la jeunesse, les chômeurs, les handicapés, les parents au foyer, les retraités , bref, toute notre société devra se réformer autour du SDV
jp baron
http://www.e-monsite.com/sdviste...
Qualité, certification, normes ISO, bcp d’entreprises privées se sont améliorées en engageant une démarche "qualité", basé sur le principe de l’amélioration continue.Ne pourrait on appliquer ces principes aux administrations ou services publics quels qu’ils soient ?.
Enquèter auprés des usagers, des salariés ,(anonymement) sur ce qui va , ce qui ne vas pas, les dysfonctionnements, les idées de chacun pour améliorer..Aprés traitement de toutes ces données, organisation et management pourraient être réorientés avec des objectifs de satisfaction des usagers, couplés à des objectifs d’efficacité et de réactivité digne de notre époque…..cordialement….JPG
les réflexions de jpg sont logiques etpleines de bon sens, mais malheureusement on préfére les sondages aux enquêtes constructives. il y aura toujours ceux qui auront raison quelque soit leurs résultats et "le reste" qui doit subir : usagers, salariés, consommateurs, etc ….on devrait pourtant méditer sur le fait que les critiques ,même négatives, peuvent éclairer ceux qui veulent bien les entendre.