C’était le 15 août 2005 ! Déjà un an. J’ouvrais ce blog, grâce à Emmanuel, mon fils, sans conscience précise de ce que c’était et ce que je pourrais en faire. Il aura été, tout au long de l’année, mon journal de bord. J’y ai traité librement et vraiment sincèrement, sans détours, de tous les sujets qui ont nourri ma vie quotidienne. D’Alençon, l’Orne, le Sénat, ou l’étranger. Des questions économiques et financières, la LOLF, à la politique, en passant par le notariat, les TIC et tous les sujets que rencontre un élu. J’y ai ajouté, quand cela ne mordait pas trop sur ma vie privée, la part d’humanité que les hommes politiques conservent malgré la dureté de l’univers dans lequel ils vivent. Je veux remercier chacun de vous pour la part essentielle qu’il a apportée à la vie de ce blog, en le visitant, et plus encore en y déposant ses commentaires. Parfois certains s’interrogent sur le style interrogatif que j’utilise. Mais c’est précisément pour que vous vous exprimiez. Même quand mon propre avis ne fait guère de doute. Merci aussi à tous les bloggeurs qui m’ont conseillé amicalement et appris ce qu’était un blog. Ils se reconnaîtront, mes visiteurs au Sénat.
En 365 jours, 542 billets auront été postés et c’est aussi l’occasion pour moi d’exprimer ma gratitude aux rédacteurs bénévoles qui ont bien voulu participer activement (A.B. Galiani, Damien Catteau, et Didier Migaud en guest-star). Vous avez vous-même posté 7.650 commentaires. Nous sommes 13ème sur plus de 1.000 au hit-parade des blogs (dits) politiques. Juste derrière DSK. Et sans être méchant avec Dominique, je crois pouvoir dire que j’y consacré personnellement plus de temps que lui. Notre audience a été constamment en progrès. Puis ce blog est devenu le vrai blog de la LOLF qui est cette nouvelle Constitution financière que j’ai eu l’immense honneur de porter, aux côtés de Didier Migaud, sur les fonds baptismaux.
Cet exercice m’a beaucoup apporté en termes de discipline personnelle. Ecrire quelques lignes, quasiment tous les jours, est une exigence terrible. J’ai souvent été tenté d’abandonner. Je remercie Xavier de m’avoir mis la pression, à l’origine, en laissant planer le doute sur la capacité des élus à tenir dans la durée. Sa mise en garde est restée pour moi un défi permanent.
Il demeure qu’il faut toujours penser à l’avenir. Précisément pour ne pas le subir, mais pour le préparer. Cela consiste pour moi à me fixer pour objectif de faire vivre, avec vous, ce blog encore pendant un an. Un an seulement. Je n’irai pas au delà car, en toutes choses, il faut savoir tourner les pages. Puis, l’effort auquel je me soumets n’est pas tenable sur la distance. En revanche, je serais très heureux s’il pouvait, sur sa ligne éditoriale, survivre ensuite au moyen de la collaboration de plusieurs rédacteurs déterminés prêts à se partager la tâche. Il reste un an aux bonnes volontés pour se proposer et se signaler auprès de moi.
Joyeux anniversaire à nouveau et bon blogging en commun tous ensemble encore pendant un an !
Bon anniversaire également.
Merci de continuer à faire preuve d’originalité et d’ouverture d’esprit en abordant,comme vous le faites régulièrement,tous les sujets majeurs de notre société.
Cordialement.
Epheméride Netpolitique : bon anniversaire, DADVSI, UDF, Podcastor…
Epheméride Netpolitique : bon anniversaire, DADVSI, UDF, Podcastor…
Grace à vous j’ai découvert le " blogging " et j’imagine très bien ce que cela a pu représenter comme exigences ,ces rendez vous quotidiens. D’ici à un an beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts d’Alençon et d’ailleurs et on verra bien comment aura évolué la formule qui me parait un plus pour notre Démocratie malade . Vous etes fiers de la LOLF . Ce serait peut etre la voie d’avenir : que chaque Parlementaire se mette au service des citoyens en étant à leur écoute sur des sujets spécialisés. Quoi qu’il en advienne je vous félicite sincèrement ( en qualité de doyen je peux me permettre …) pour cette initiative. Bon anniversaire donc . J’arroserai cela à la Vodka chez nos amis Russes, dans les tout prochains jours…. Da Da…
BRAVO ! POUR CET ANNIVERSAIRE.Mais comment fais tu pour t’imposer une telle disponibilité? Ton blog ,est devenu pour moi une consultation quasi quotidienne;Merci pour ce que tu continues a nous apporter…
Quelle belle occasion de remercier Mr Lambert, qui montre à ceux pourtant nombreux parmi nos hommes politiques qui au fond d’eux-mêmes, ne refuseraient pas de revendiquer leurs positions auprès de leurs concitoyens comment savoir ne pas rester à côté des débats internes à notre pays, sans pour autant nier la complexité de tel débat ou question.
Puissent vos amis politiques savoir toujours plus vous employer à l’avenir !
Bonne continuation
"Cela consiste pour moi à me fixer pour objectif de faire vivre, avec vous, ce blog encore pendant un an. Un an seulement. Je n’irai pas au delà car, en toutes choses, il faut savoir tourner les pages."
CQFD
NDLR : J’indique aux visiteurs que ce commentaire émane toujours de la même personne qui poste sous différents pseudos pour manifester son opposition quasi professionnelle puisque permanente.
j’ai decouvert ce blog apres en avoir entendu parlé sur la 5 .. j’ai ete cureiux et cela m’a plus .. depuis j’en ai visté d’autres comme celui de M Devedgian .. Mais trop souvnet je lit des commentaire de raleurs proffessionnels qui se font une joie de demolir leurs hotes .. Personne n’est obligé d’ecrire , ou de caommenter .. Ici , il ya un grand plaisr a lire des commenatires agreables , jamais vulgaires et biens souvent constructifs
C’est fvrai que parfois l’on derape vers un regionalisme qui peux deplaire a des lecteurs lointains .. mais cela prouve qu’il exsite encore des hommes politiques qui n’oublient pas ce qu’est leur engagement . … le respect de leurs electeurs
Tiens, vous ne vous appelez pas "Audience" aujourd’hui ?? Dans la mesure où il était question de saluer le nombre de billets, je pensais que vous arriveriez avec vos gros sabots nous resortir votre litanie sur le nombre de visiteurs, sur le ratio visiteurs/rédacteurs etc… Mais non, rien là-dessus ! Peut-être que le classement (13ème sur + de 1000) vous en a "bouché un coin" comme on dit par chez nous ??
Ceci dit, je note quand même que sur le fond, vous ne dîtes jamais grand chose ! Plutôt que de critiquer le faible nombre d’interventions, dîtes-vous bien une chose :
– ce serait simple de mettre 65000 messages (1 par visiteur) si tout le monde faisait comme vous ! Une phrase en copier-coller et hop, un billet de posté ! Merci à vous; mais on sait lire (et nous avons même quelquefois la faculté de lire aussi entre les lignes, incroyable, non ?)
– Tout cela rejoint bien le fait que s’il n’y a pas autant de messages que de visites, c’est en application du simple adage "quand on ne sait pas, on se tait". Une retenue s’opère chez un grand nombre par manque de confiance en soi aussi.
Comme quoi, il y a de tout dans ce monde : des personnes qui assument leurs idées, d’autres qui n’osent pas parler et d’autres qui parlent à tors et à travers, qui "la ramènent" toujours même si elles n’ont rien à dire…
Vous changez le verbe "parler", vous le remplacez par "écrire", et vous avez ce qu’on peut trouver sur ce blog. Il ne vous reste plus qu’à vous positionner…
Un très bon anniversaire à ce blog !!
J’ai connu ce blog grâce à mon intérêt pour la LOLF et depuis j’en suis désormais un lecteur assidu, sur ce thème et bien d’autres tout aussi intéressants !!!
Son audience en perpétuelle augmentation est on ne peut plus méritée étant donné votre investissement "rare" pour un blog "politique"…
Bravo !!!
Je rejoins Stéphanie s’agissant des commentateurs qui malheureusement postent un nombre de commentaires inversement proportionnel à leur intérêt… La critique est bonne quand elle est constructive… Quand il s’agit de critiques systématiques et de questions posées sur un ton impérieux, ça frise l’impolitesse… Heureusement que cette catégorie de bloggeurs est assez peu représentée ici et qu’il y règne une grande cordialité et une grande ouverture d’esprit…
D.C.
à Stéphanie
Patience, ma litanie reviendra en temps voulu si nécessaire !
Je constate que vous vous donnez du mal pour m’expliquer des choses au sujet desquelles je n’ai jamais posé de question ( ratio visiteurs/rédacteurs )
à Damien,
Ainsi il faudrait connaître les règles de la politesse telles que vous les concevez afin de pouvoir s’exprimer sur le blog d’un élu.
Ceci dit je puis vous assurer Damien que je tiendrai compte de toute critique constructive que vous pourrez faire ici (ça profitera à tous les blogueurs malséants malgré eux) quand il vous arrive de constater un écart de conduite.
Je suis impoli mais je veux bien me soigner : que vous faut-il de plus ?
Je ne pense pas qu’il soit question d’un degré "spécifique" de politesse s’agissant d’un élu (encore que lorsqu’on connait Alain Lambert, on ne peut que se montrer particulièrement respectueux). Je pense tout simplement que lorsqu’on participe à un blog, quelqu’il soit, un forum, débat ou autre, il y a quelques règles simples de cordialité. Je ne vois pas l’intérêt d’exiger tel ou tel commentaire/réponse à une question que VOUS jugez importante… Plus simplement, un débat est intéressant quand il est constructif et quand les deux parties s’écoutent et essayent de se comprendre… Le harcèlement ne mène nul part…
Je ne trouve pas spécialement que vous soyez impoli… tout au plus, un peu agaçant avec vos critiques incessantes ou votre capacité à jouer sur les mots pour vous défendre, souvent de mauvaise foi…
Peu importe en réalité, inutile d’épiloguer sur ce sujet… En général, les bloggeurs qui manquent un peu de savoir-vivre finissent par disparaître victimes d’une certaine indifférence générale… Mais puisque vous souhaitez "vous soigner" alors…
Cordialement,
D.C.
D.C., Stéphanie, et autres. : En ce qui concerne les commentateurs partisans occasionnels ou systématiques de l’opposition …systématique, il faut quand même bien comprendre que, par définition, un homme politique, se déclarant homme politique, choisit très explicitement de se mêler de ce qui ne le regarde pas, à savoir, la vie, les moeurs, et les affaires de ses concitoyens, faute de goût que ses concitoyens n’ont, de prime abord, nulle raison de lui pardonner.
Par exemple, un actionnaire GDF aurait à cette heure beau jeu de se demander de quoi tel ministre se mêle à emmerder les députés avec son idée farfelue du moment, comme si d’aventure, en bon actionnaire qu’il est, il n’aurait pas lui aussi quelques idées sur la bonne gouvernance de cette entreprise.
Ce constat (les politiciens sont ceux de nos concitoyens qui choisissent en particulier d’emmerder le monde au nom d’ailleurs d’on ne sait trop quoi), pour cruel qu’il est[*] mène à deux possibles analyses sur le rôle d’un blog : la première serait de considérer un blog comme un outil de promotion d’idées (généralement, les siennes ou celles de son parti), dont l’objet pourrait être de contrebalancer des critiques existantes. Refuser d’adresser les critiques existantes tout en continuant à parler de ce dont on souhaite parler n’est-il pas la définition même du "dialogue de sourds" ? La seconde est celle qui consiste à employer un blog pour recevoir à domicile, dans un lieu qu’on maîtrise, les observations formulées avec l’élégance dont on est, dont on se révèle capable (nulle obligation de résultat n’étant en l’espèce applicable, compte tenu, par exemple, entre autres, de l’intérêt de savoir prendre en compte l’avis de nos amis européens si peu fréquemment francophones, ce qu’on ne saurait pourtant leur reprocher). S’il s’agissait, après tout, de réserver le droit à traiter des affaires de la nation à ceux capables d’un comportement exquis en société, il n’y aurait sans doute rien à débattre ou à ajouter à tout ce qu’Anatole France ou Maupassant purent écrire sur les caractères d’une République bourgeoise, dont on peut d’autant plus aisément regretter l’époque qu’elle avait le bon goût de n’exiger de ses citoyens non-instruits que de bien vouloir savoir mourir pour elle ou oeuvrer à l’existence de la génération suivante, dont l’utilité à savoir bien mourir ne s’est d’ailleurs par la suite guère démentie, en trois occasions consécutives du moins.
Nombre de lecteurs savent ici que la raison supposée pour laquelle les sociétés se déclarant civilisées se souhaitent souvent démocrates et pas seulement républicaines est qu’en théorie du moins, la participation du plus grand nombre d’esprits possible à la conduite des affaires de la société fédérant ces esprits semble, empiriquement du moins, plus à même de garantir la pérénité de ce qui s’y construit, et, par là même, la paix, présente et à venir, à l’évidence mère de la prospérité et très probablement, à quelques approximations près du moins que nous concèderons ici à nos amis alter-mondialistes, du bonheur.
Mais, encore une fois, savoir s’exprimer de sorte à ne veser personne est l’art du comédien, et non pas, comme on aime à le croire rue d’Ulm, celui de l’homme de bien. L’affirmation de la volonté politique quelle qu’elle soit revient à revendiquer cette attitude que je décriais plus haut, à savoir, choisir de revendiquer avoir la science infuse et l’envie irrépressible d’en faire profiter son monde[**].
Pourtant, toute la complexité de notre époque provient, à l’évidence, et il est si fréquent de l’oublier en politique[***], de l’implication profonde de fort nombreux et fort divers citoyens dans la conduite globale des affaires : je veux ici parler de la participation que chacun fournit, par exemple, dans le cadre de son activité professionnelle, qu’on soit médecin, cantonnier, commerçant, ingénieur ou simple employeur. A tous ces citoyens n’est pas donné capacité à traiter de tous les sujets de manière élégante et polie alors même que, malgré cela, l’art du politique consiste fort précisément à s’en mêler (qu’il s’agisse de réglementer le commerce des tabacs et alcools, les dates, horaires et conditions de chasse, les tailles de cages à oiseaux, de la profondeur des rainurages des pneumatiques, ou de la gouvernance de l’ex-service public en charge de l’aménagement du territoire en ce qui concerne la fourniture du gaz naturel au plus grand nombre). Par ailleurs, du moins depuis trente bonnes années, le recours assez fréquent à la langue de bois pour couper court aux débats politiques (qu’il s’agisse, fort récemment de DAVDSI, ou, il y a quelques années à peine, du "grand débat sur l’école", ou, plus généralement, des questions européennes) rend à la fois logique et légitime le recours à la diatribe et l’opposition systématique surtout lorsque, que ça soit au prétexte d’élégance[****] ou, pire encore, de supposée technicité[*****] du débat, on souhaite cadrer ou contingenter le débat dans des formes nécessairement accessibles…. à celui qui l’initie !
[*] (il serait pourtant aisé d’être bien plus cruel.. mais gardons notre souffle : trois années consécutives d’élections pour renouveler tant de mandats nationaux et locaux illustreront assez bien cela, je pense)
[**] comme y excellent d’ailleurs fort bien nombre de ministres grands et petits de l’actuel gouvernement.
[***] Et nombre de lecteurs savent ici que rares sont les personnes, comme notre hôte, à s’intéresser à ce sujet si aride aux yeux du plus grand nombre que sont les finances publiques tout en sachant considérer toute l’importance de la société civile !
[****] Entre parenthèses, le fait que, en France, l’aptitude à l’usage le plus élégant possible contextuellement de la langue française soit si souvent perçu comme un signe de qualité ou d’importance de celui qui s’exprime est si remarquablement difficile à comprendre hors de nos frontières !
[*****] Alors même que, dans une société un tant soit peu libérale du moins, toute technicité est l’apanage de la société civile et si rarement du politique
Je rejoins stephanie et damien en tous points. Un proverbe chinois dit : avant de parler, il faut toujours se demander si ce que l’on a à dire est plus important qu’un silence. A méditer poil à gratter et autres alias!
Je souhaite longue vie à ce blog politique qui ne fait pas dans la publicité à outrance pour son auteur (comme on peut malheureusement le voir dans bien des cas). Vous avez trés bien compris ce qu’était l’esprit d’un blog, et je pense qu’il vous permet d’affiner votre réflexion sur pas mal de sujets en vous inspirant de nos réactions.
Tout élu (de portée nationale) devrait faire l’expérience d’un blog. Cela leur permettrait de prendre un peu mieux la température du pays.
Tizel
Ce qu’il nous faut? mais justement que vous vous soigniez !
à Bertrand,
Vous venez de perdre une occasion dans votre second commentaire de mettre en pratique la sentence énoncée dans le premier !
à Damien,
"encore que lorsqu’on connait Alain Lambert, on ne peut que se montrer particulièrement respectueux"
Je n’ai rien contre Alain Lambert en tant que personne.
"Je pense tout simplement que" : est-il permis d’envisager que nous puissions penser différemment et que nous puissions avoir raison un peu tout les deux ?
"un blog, quelqu’il soit" : le blogue d’une personnalité politique de stature nationale n’est pas un blogue comme les autres.
"quelques règles simples de cordialité" : je suis d’accord et je ne pense pas ici m’être écarté de ces règles. Toutefois, je ne consens aucunement, sur aucun blogue, et à fortiori sur un blogue d’homme politique, à me laisser enfermer dans des règles. Dès lors que mes questions ["que JE juge effectivement importantes"] ne portent pas atteinte à la vie privée et au respect dû à tout un chacun, je me fais un devoir de ne pas m’interdire d’en poser. Et autant de fois que je l’estime nécessaire si mon ou mes interlocuteurs ne m’a (ont) pas convaincu, soit par leur(s) réponse(s), soit par leur absence de réponse. Vous trouvez cela agaçant ? je ne m’en réjouis pas ; mais je ne m’en formalise pas davantage.
"un débat est intéressant quand il est constructif et quand les deux parties s’écoutent et essayent de se comprendre"
Il ne m’apparaît pas que M. Lambert ait tant envie de débattre que de faire débattre.
"Le harcèlement ne mène nul part…" : je me considère plutôt comme opiniâtre. On peut en reparler
"Je ne trouve pas spécialement que vous soyez impoli… tout au plus, un peu agaçant avec vos critiques incessantes ou votre capacité à jouer sur les mots pour vous défendre, souvent de mauvaise foi…"
Si vous pouviez être plus précis là encore, peut-être pourrions-nous mieux nous comprendre…
"Peu importe en réalité, inutile d’épiloguer sur ce sujet" : mais il apparaît pour l’heure que ce possible débat ne présente guère d’intérêt à vos yeux.
"En général, les bloggeurs qui manquent un peu de savoir-vivre finissent par disparaître victimes d’une certaine indifférence générale…"
Vous disposez d’une étude précise au sujet de cette double relation de cause à effet supposée ?
Si tant est quelle soit exacte, je doute qu’elle s’applique à moi car je ne pense pas présenter le second des deux symptômes-causes que vous mentionnez ici :
– le désir d’être remarqué
Je ne crains donc pas d’être rattrapé par le mécanisme de découragement que vous pronostiquez ici.
Mais c’est promis, je ne vous harcèlerai pas !
à "ici aussi sans importance, quoi que ?"
J’ai apprécié le billet du sus-nommé "quoi que" où il développe élégamment un raisonnement autour d’une opinion apparemment frappé du coin du bon sens : le débat est-il démocratique s’il écarte les importuns dès lors qu’ils ne possède(rai)ent pas la distinction "élémentaire" requise pour mêler sa voix à celle des membres (cooptés !) du club (fermé !) des bienséants… ?
De la"pédagogie politique",je n’avais jamais approché.En me permettant de "dire" un peu,de "partager" un peu,d’apprendre "beaucoup"…Merci,Monsieur Lambert,merci à vous tous…J’ai de la chance,une chance qui n’est pas souvent donnée aux vieux routiers qui ne peuvent plus marcher…
Ce que j’ai à dire : RIEN !
Les débats stériles n’ont aucune utilité et si je peux vous épargner une dépense d’énergie inutile, sachez que vous pouvez vous dispenser de ressortir votre litanie ! Suffisamment de mois se sont écoulés pour qu’on la connaisse maintenant par coeur…
Et puisque vous êtes persuadés que nous sommes tous (Bertrand, moi et d’autres…) des cooptés, embrigadés et que nous croyons en la seule parole du prophète Lambert, eh bien, que pouvons-nous faire pour vous ? Pas grand chose…
Stéphanie,
Je vous laisse le mot de la fin puisque vous proposez aimablement que nous fermions cet aparté on ne peut plus chaleureux !!! Bien à vous.
Ce que j’aime chez les donneurs de leçons du style poil a gratter ou ici aussi sans importance, c’est le manque de courage et l’intolérance totale masquée sous une tolérance factice bien connue des extrémistes (vous hurlez la? c’est bien c’est ce que je voulais !).
Le manque de courage passe par le pseudo qui empeche, c’est aussi le jeu j’en conviens mais assumez un peu, de pouvoir avoir la moindre idée du profil de la personne, c’est facile, mais c’est le principe du blog je l’admets.
l’intolerance vient du fait que, sous couvert de cet anonymat bien utile, vous vous permettez d’ecrire des choses que peut etre vous n’oseriez dire en face à face, à visage découvert a vos interlocuteurs, à commencer par notre hôte.
en retour vous n’acceptez aucune critique sur votre attitude, vous etes dans le discours que j’ose qualifier de dangereux qui consiste à dénigrer en permamence la politique et ceux qui la pratique pour mieux faire valoir vos idées qui ne sont finalement fondées que sur la destruction, la peur, la terre brulée.
le discours politique ne vaut d’etre cru que s’il est constructif, positif et argumenté.
je pense que chacun, je le fais aussi souvent, peux légitimement se poser des questions sur tel ou tel sujet pour comprendre, que chacun d’entre nous a le droit et le devoir meme de critiquer, mais dans l’idée de construire quelque chose ensuite ou de proposer une solution, meme si celle -ci s’avère idiote ou inappropriée.
Avec vous, rien, le vide, le néant, vous déversez des tombereaux de critiques stériles et aussi stéréotypées les unes que les autres sans rien proposer de concret, de sérieux, d’honnète intellectuellement.
je ne me considère pas comme un "béni oui oui" de qui que ce soit, loin de là, je ne suis coopté par personne, encore moins embrigadé, je sais faire connaitre mon opinion régulièrement, FRANCHEMENT, A VISAGE DECOUVERT, quitte à me faire critiquer voire mal apprécier par tel ou tel.
J’ai passé l’âge de vos leçons à vous qui colporter un discours nuisible, archaIque et je l’espère en voie de disparition.
Il est vrai que pour qu’une discussion soit chaleureuse, encore faut-il être en face d’humains. Et dans le cas présent, lorsque nous discutons avec un personnage aux multiples identités, l’humanisme disparait : Nous tombons dans le virtuel et ne savons pas si notre interlocuteur n’est pas un extra-terrestre !
Comprenez donc la retenue dont il faut faire preuve face à de tels êtres qui n’ont aucune identité… sans compter que la bonne éducation que j’ai reçue m’a toujours conduit à ne pas parler à des inconnus !