C’est triste un peu à avouer, mais j’ai conscience que c’est sûrement à peu près comme cela que ma femme me voit ! Bonnes vacances à ceux qui sont sur la plage. Un bon jardin du côté d’Alençon dans l’Orne, ce n’est pas mal non plus.
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Catherine est bien plus belle que la voisine du surfeur même si parfois, elle a dû voir l’ordinateur d’un mauvais oeil !!!!!!!!!!
"Faute avouée à moitié pardonnée" 😉
… Et je confirme que pour le jardin… c’est pas mal non plus !
Vous ne risquez pas de surfer bien loin à La Baule.
Parcontre, la mer tranquille a ses lames de fond qui sont bien là et lorsque les rouleaux arrivent il ne faut jamais se mettre dos à eux, toujours de face. Il y a des fois où il faut savoir dire jamais si on veut avoir une chance de s’en tirer.
On ne dompte jamais la nature des choses et pour la surfer, le petit écran n’est jamais la réalité. Il y a des fois où il faut savoir dire jamais si on veut avoir une chance de s’en tirer au bout du compte.
Je crains bien que le gros temps que l’hiver nous apporte, ceux qui connaissent la mer en savent quelque chose, ne nous réserve des surprises.Si on lâche les amarres et croit en son courage, on a peut-être une chance de s’en tirer.
Mais, comme me répétait tout le temps cette vieille libanaise réfugiée avec ses deux fils, avec des si on pourrait mettre Paris en bouteille.
Une bouteille à la mer j’imagine.
Et comme Stéphanie, je confirme aussi… pour le jardin c’est pas mal non plus.
Mais,c’est un fort bel oeil qui vous regarde,Monsieur Lambert…voilà l’humour qui revient…Je crois d’ailleurs qu’il n’est jamais parti.Alençon est si loin ,les jardins aussi.Par contre les prairies reverdissent et la jeune foret a bien tenu le coup…il y a des sources et des ressources…
Pour ceux qui restent au travail ou qui reviennent de vacances, vous trouverez ci dessous l’extrait d’un article paru dans la journal du management de juillet – Août.
Rire au bureau :vous bosserez mieux !
Idéal pour briser la glace, stimuler la créativité et emporter l’adhésion de ses collaborateurs, l’humour est un outil très
efficace. Encore faut-il savoir le manier à bon escient.
C’est l’histoire de Sherlock Holmes et du Dr Watson qui partent camper. Au beau milieu de la nuit, Holmes réveille Watson et lui demande ce qu’il voit. «Des millions d’étoiles, parmi lesquelles se cachent peut-être des systèmes solaires comparables au nôtre, une vie extraterrestre.. . », propose le fidèle second, vite interrompu : «Mais non, abruti : on nous a volé notre tente !» Andrew Taylor, enseignant de MBA dans le Wisconsin, commence toujours ses interventions par cette blague pour illustrer la difficulté à percevoir ce qui crève parfois les yeux. Comme lui, la plupart des Américains pratiquent volontiers l’humour au travail. Ils y voient un bon moyen de briser la glace, d’aplanir les différences hiérarchiques et d’emporter l’adhésion. Outre-Atlantique, pas un discours ne commence sans une «opening joke)). La méthode a si bien fait ses preuves que même la Maison-Blanche l’a adoptée (lire l’encadré). Avant chaque allocution présidentielle, les services de George Bush font ainsi plancher un bataillon d’humoristes. En France, on en est loin. «Notre mode de management est fondé sur la distance entre le chef et ses subordonnés, décode David Autissier, enseignant à Paris-XII et auteur de "C’est n’importe quoi !" (Eyrolles). On perçoit le rire comme une familiarité qui peut vous déposséder de votre pouvoir.)) Erreur ! L’humour est au contraire une arme de séduction massive, permettant de souder ceux qui s’y adonnent et de stimuler leur créativité. De plus, rire aux éclats est excellent pour la santé. Autant de raisons pour apprendre à desserrer les mâchoires. Les médecins l’affirment : nous ne nous esclaffons pas assez souvent. Un adulte ne rit qu’une vingtaine de fois par jour en moyenne, contre près de 400 fois pour les enfants. Plus grave, il y consacre moins de temps qu’autrefois : on s’octroyait vingt minutes d’hilarité quotidienne dans les années 1930, alors qu’on atteint à peine une minute aujourd’hui. En fait, idéalement, il faudrait s’adonner au
moins dix minutes par jour à ce genre de détente, pour un bénéfice optimal sur le psychisme et le métabolisme.
«Au même titre que la relaxation, la méditation ou le yoga, le rire est une technique de lutte contre le stress)),
insiste le neurologue Henri Rubinstein, auteur de «La Psychosomatique du rire)) (Robert Laffont).
S’esclaffer, c’est du sport. En effet, l’hilarité agit sur l’organisme de quatre façons. C’est d’abord une onde de choc qui se propage de muscle en muscle avec une intensité progressive. Le visage, le cou et le dos se contractent et se relâchent en rythme, ce qui masse en profondeur et libère des tensions accumulées. La sollicitation des abdominaux facilite, quant à eue, la digestion. Et le cœur n’est pas en reste : une dose quotidienne de rire peut avoir des effets semblables à la pratique régulière d’un sport, en stimulant la circulation sanguine. Après un fou rire, les artères, qui se sont rétrécies, se dilatent à nouveau, engendrant une sensation de bien-être. Quatrième bienfait : la chasse aux toxines. Le volume d’air inspiré étant multiplié par quatre, le corps est mieux oxygéné. Cela favorise l’élimination des sucres et des graisses, notamment
le cholestérol. Enfin, cette «gymnastique» agit sur le moral en déclenchant la sécrétion de dopamine et
d’endorphines. En effet, ces substances diminuent le stress et la douleur, préviennent la déprime et renforcent le
système immunitaire. Conséquence : rigoler favorise la confiance en soi et permet de surmonter la timidité.
Aux Etats-Unis, même
le Président se marre
L e rituel remonte à 1924 : chaque année, le chef de la première puissance mondiale pratique I’autodérision à l’occasion du gala des correspondants de presse de la Maison-Blanche. Le 29 avril dernier, George Bush s’est donc présenté avec son sosie, Steve Bridges, qui a lancé : «Mais pourquoi
ne puis-je pas dîner avec les 36% qui m’aiment ?N provoquant l’hilarité de la salle. Un humoriste est
ensuite venu dresser un portrait du dirigeant : <Un homme qui pense la même chose le lundi et le mercredi, quoi qu’il se soit passé le mardi.)) Puis il a félicité Fox New, «la chaîne qui vous donne les deux
versions de I’histoire, celle du Président et celle du vice-président)). II y a deux ans, Bush avait fait mine de chercher des armes de destruction massive sous son bureau ! Des pitreries inimaginables en France.