Nous avons sur ce Blog, en réduction, toutes les contradictions de notre société. En rapprochant mon billet du 26 octobre dernier, intitulé « triste journée », rédigé au retour d’une cérémonie d’hommage solennel à un gendarme décédé des suites de blessures survenues en service, et celui d’hier soir invitant « au calme », suite aux violences urbaines qui mettent en cause les forces de l’ordre, je constate que seulement 5 jours se sont écoulés entre les deux évènements qui nous révèlent les deux faces d’un même mal. Il est plus que temps de réfléchir aux fondamentaux de notre démocratie. Elle ne nous est pas promise jusqu’à la fin des temps. Elle nous est offerte mais elle ne pourra pas vivre sans nous.
La violence urbaine ou de tout les jours, je connais.
Je ne sais ou va notre démocratie, mais je propose aux politiques de dire moins de phrases qui peuvent blaisser, de dire moins de mensonges et de vivre un peu plus au quotidien avec les gens.. Ce serait déjà un bon début!
réfléchir aux fondamentaux? mais la technologie nous y invite par des Etats Généraux Cybernétiques des Citoyens, la seule, je dis bien la sxeule, sortie par le Haut de la situation de ce pays qui est très grave dans des domaines essentiels!
J’avoie que depuis quelques années j’ai perdu tout goût pour l’humour si ce n’est l’humour noir! Avoir un tel pays et en être là quel scandale!
Ces jeunes ne sont que le dernier maillon de la chaine dans le naufrage des banlieues. Cette situtation est d’abord le résultat de 30 années de dérive. Les parlementaires, et notamment les plus anciens, doivent prendre toute leur part de responsabilité dans ce fiasco.
La violence dans ma ville de banlieue, c’est une réalité. coktail Molotov contre le commissariat, voitures brûlées.
Je ne souhaite qu’une seule chose, c’est qu’en ces temps difficiles pour notre démocratie, les ambitions des uns des autres s’effacent pour laisser place à une unité de tous pour la résolution du problème.
En marge et parce que nous sommes vendredi soir, si l’on continue a ce rythme en France, soit 400 voitures brûlées par jour, en un an, il y aura autant de voiture brûlées que de voiture la plus vendue, soit une diminution du parc de véhicules polluants de 10%, permettant ainsi des économies significatives sur la facture en pétrole. Si l’on maintient sur 10 ans, c’est la politique énergetique qui pourrait être revue, ainsi que celle de l’environnement. On touche alors le domaine complexe de l’interaction des politiques publiques.