J’ai conscience de m’aventurer sur un sujet délicat ! Celui des violences urbaines. Mais est-il possible d’être engagé en politique sans apporter son témoignage sur cet engrenage terrible et mortel de la haine et de la violence.
Notre réflexion est bordée par deux abîmes : celui de la tolérance pleutre, du renoncement, du fatalisme, de la résignation ; puis celui de la loi du talion où les coups sont rendus au prix de l’escalade dans l’horreur et le désespoir.
Pour sortir de ces ténèbres qui nous guettent, ne faut-il pas en revenir aux valeurs ? A celles de la République. Celle notamment qui promet à chaque Français ou résidant sur notre territoire : LA SURETE ! chacun doit pouvoir vivre en sécurité dans une société libre et confiante. L’esprit de responsabilité individuelle qui fonde le pacte républicain doit être plus que jamais restauré. La responsabilité des parents doit être réaffirmée, la prévention renforcée et l’instruction civique enseignée avec vigueur. Une trop grande majorité de jeunes Français connaissent mal les exigences et les conditions qui leur garantissent de vivre en démocratie. Or, la démocratie a ses règles ; elle se vit au quotidien et comporte des devoirs. Chacun les connaît-il ? Des réponses de justice et de fermeté doivent être apportées en sanctionnant lourdement la délinquance et la récidive. Elle appelle une police forte et respectée.
J’imagine les plus conciliants d’entre vous : furieux ! me craignant déjà en dérapage dans l’abîme de la répression aveugle. Je n’ai pourtant que simplement recopié mot pour mot, un court passage du « manifeste pour les valeurs » de notre Club Courage et Convictions, rédigé il y a déjà 3 ans. Loin de l’actualité brutale de ces jours derniers. Comme quoi, la vie en société suppose que l’on réfléchisse tous ensemble à un corps de valeurs auxquelles nous adhérons tous. Cela nous aidera à passer les moments difficiles.
Pour l’instant le meilleur conseil que nous pouvons donner est : du calme !
… Une police forte et respectée …
J’avoue être assez déçu de la gestion par le gouvernement (dans son ensemble) de cette affaire et notamment par le fait que Villepin ait reçu les familles, en présence de Nicolas Sarkozy, qu’elles s’étaient pourtant offert le luxe de refuser de rencontrer.
Ceci, plus le fait que Villepin promette que "toute la lumière sera faite sur les circonstances des décès" accrédite, par ricochet, l’idée qu’il y a des zones d’ombre. 1er accroc à notre police.
Sur l’autre rive, l’argument si souvent repris consistant à s’interroger sur le fait que des jeunes soient si effrayés qu’ils s’enfuient alors qu’ils n’ont rien à se reprocher accrédite également l’idée qu’en fin de compte, notre police, ce serait les escadrons de la mort, ou une petite gestapo. Pour qu’elle inspire une terreur telle que l’on se réfugie dans un transformateur électrique.
Alors qu’aucun fait, aucune déclaration ne permet de mettre en cause la police. A ce que j’ai lu, le troisième garçon a déclaré qu’ils avaient fui à la vue d’un contrôle d’identité. A supposer que la police les ait poursuivi, ce qui est contesté, était-ce illégitime de sa part ?
Ceci, c’est sans parler des dissenssions au gouvernement qui se font un peu plus jour sur ce dossier…
Morts pour rien
C’est devenu une scène incontournable, la “marche silencieuse“. Evidemment, on pourrait se réjouir qu’elle canalise un peu de la violence des réactions. Mais il me semble que c’est déjà …
Internet et la mémoire de la Révolution
L’invention de l’imprimerie en rendant possible la diffusion et le partage des idées (à large échelle) a été le vecteur d’une révolution économique (la révolution industrielle) et d’une révolution politique (la révolution…
Il y a tant à dire ! On peut aussi revenir sur le theme de la récidive car pour réagir comme certains le font en face de la police, il faut savoir ce qu’il en coute ensuite ! Une information qui éclairera peut etre les lecteurs, des jeunes gens ont été condamnés a deux mois d’emprisonnement ferme, mais dès qu’ils sont arrivés en maison d’arrêt, on leur a notifié leur "credit de peine" à savoir les jours qu’ils n’avaient déjà plus à effectuer du fait des remises automatiques, soit deux semaines, donc sur huit semaines de principe, on arrive a 6 ! dès la mi-peine, ils pourront demander à sortir, donc dans 4 semaines maxi. si on ajoute la prime à la bonne conduite qui peut être accordée par le Juge d’application des peines, dans trois semaines ils peuvent etre libres, en toute légalité et revenir en super héros dans leurs immeubles ! Ils le savent, les policiers le savent, les habitants le savent. Ne serait -il pas plus simple de décider qu’une peine s’exécute de A à Z ? Si votre enfant fait une bêtise, que vous le punissez, les meilleurs psy-psy vous diront qu’il faut aller au bout de la punition sinon il saura qu’il peut avoir une sanction mais qui sera moindre que celle entendue, d’ou le sentiment d’impunité, ça marcherait a 2 ans mais plus a 18 ou 25?
Mon idée n’est pas de tout sécuriser mais d’appliquer simplement des principes clairs pour tous et qui fassent enfin passer un message net à la population !
En sus d’un renforcement de l’Education Civique, réglementez la diffusion de "Koh Lanta", de "La ferme Célébrités"…
Je pense que les reportages à sensation sur la vie des cités, de leurs habitants, des services de Justice, de Police, d’Education qui y oeuvrent sont modélisés par de nombreux jeunes.
A vouloir les rendre disponibles pour participer à la grande aventure de l’économie de marché… Les diffuseurs ne partagent pas ces valeurs auxquelles vous vous référez.
Diffuse-t-on feuilletons ou séries pour "jeunes" dans lesquels ceux-ci, mis en scène, mènent une vie ordinaire et travaillent??? Que nenni, les héros modernes vivent bien! Et se la coulent douce
Bien sur ! une police forte et respectée … J’habite Neuilly, alors je ne m’estime pas victime … mais vous etes vous déja fait arréter … 1 policier sur toi est irrespectueux, cow , boy ou provocateur quand ce n’est pas les 3 en m^me temps. Le pire, c’est que lorsque un policier est fort mais pas respectable , c’est son comportemetnqui domine celui de ces collègues ! Je suis à peine étonné … le comportement des Bacs et autres unités spécialisées dans la chasse aux b… et aux n… est trop systématiquement décrit de ma m^me façon pour quze cela soit inéxacte ! On a toujours pas expliqué pourquoi les m^mes petits beurres … peuvent se faire contrôler la m^me journée , plusieurs fois, par les mêmes policiers etc …. Et les dérapages de la police quotidien dans ces quartiers sont aussi nombreux que les incivilités des gens qu’ils poursuivent ! Alors pourquoi s’étonner ?!
Vous avez mille fois raison d’en appeler au calme tout en soulignant les principes républicains. Il faut défendre les valeurs et les principes. Mais qui peut – ou veut – entendre en de tels moments ?
Au-delà du problème immédiat, il est impératif de rééquilibrer l’approche. Un incident en banlieue est une chose ; bientôt une semaine de guérilla urbaine en est une autre. Quelles sont les causes de tout ce désordre ? Si les casseurs sont des anarchistes, la République doit seulement se défendre et il n’y a pas à chercher plus loin. Mais les banlieues désoeuvrées et rétives présentent sans doute un plus vaste défi.
Malheureusement et je pourrais sans problème développer ce thème et le réferencer il n’y a qu’une loi, le reste n’est que calembredaine hypocrite donc rousseausite. IL faut relire La fontaine et notamment
"La raison du plus fort est toujours la meilleure". Ah oui et puis aussi "Homo homini lupus".
Le reste? bla bla bla!
Là pour une fois j’ai fait court, non? Maintenant si vous voulez des explications…
Comme pour la SNCM, les transports marseillés et d’autres sujets récents, l’interprétation est parfois délicate.
A mon sens, il faut néanmoins toujours garder à l’esprit trois choses:
1. La volonté des hommes politiques de donner l’impression qu’ils agissent, même s’ils ne peuvent rien faire ou ne veulent rien faire,
2. La volonté de MM Chirac et Villepin de " tuer" Nicolas SARKOZY, même s’ils prennent des risques,
3. La volonté des acteurs en sous-mains de profiter de ces situations pour renforcer leur poids dans le rapport de forces, en tentant de mettre l’opinion publique à leurs côtés et de faire reculer le gouvernement et les autorités.
Ce qui suppose une " orientation " de l’information. Preuve la différence de traitement et donc le déquilibre dans la suite entre les deux jeunes qui se sont tués par imprudence à Clichy et l’homme assassiné devant sa femme et sa fille à Epinay.
Culturellement, ces jeunes ne seraient-ils les descendants d’une culture patriacale ? L’autorité, c’est le père qui la porte, il l’impose. Il est respecté.
A partir du moment ou ce père n’est plus respecté, la force, c’est la police. La police, force de l’ordre, c’est pour eux ce que représente le pouvoir, de notre société française. Au travers de ces affrontements, ne serait-ce pas toute la société française qui est testée ? Si elle montre la moindre faiblesse, c’est l’ensemble du dispositif qui ne sera jamais plus respecté. A partir du moment ou nous ne sommes pas ferme sur nos valeurs, c’est que nous n’en avons pas. La conclusion est alors simple, nous ne devons pas être respectés.
Pour répondre sur la notion de sécurité. Elle est, historiquement, le fondement de la structuration du pouvoir de nos sociétés modernes. Les sociétés de nos villes et nos villages sont issues de l’espace sécurisé créé par la protection du seigneur. Il tirait son pouvoir de cette sécurité.
Elle reste aujourd’hui l’une des missions fondamentales de l’Etat, les APU (ou tout autre nom poétique que vous pourrez trouver).
La sécurité, c’est l’un des besoins primaires de tout être vivant, donc chez l’homme ou la femme.
S’il n’est pas assuré par l’Etat, c’est le peuple qui s’en charge et c’est vite le chaos, il n’y a qu’à voir ce qui se déroule en Iraq.
Autant, expliquer que les députés ne votent que 5% du buget de 40% de l’ensemble des dépenses, il va falloir faire preuve de beaucoup de pédagogie et de conviction, autant pour la sécurité, c’est un effet tellement visible qu’il ne faut pas grand chose pour que les passions s’enflamment.
Cher Alain Lambert,
Je ne suis pas sur que le titre « Du calme ! », soit le plus approprié en la circonstance, compte tenu de ce qu’il s’est passé depuis une semaine.
Sous prétexte, que deux jeunes, sont allés se faire griller dans un poste de distribution EDF (dont l’accès très bien protégé est normalement interdit), parce qu’ils auraient eu peur de la police, on met le feu aux banlieues ?
Je ne connais pas les détails, mais quand on fuit la police pour aller se cacher, c’est peut être qu’on à pas la conscience tranquille.
Quoi qu’il en soit, rien ne peut justifier, ni excuser ce qui s’est passé ensuite.
L’ordre républicain est un préalable non négociable.
Le droit des populations de ces banlieues et de ces quartiers, est d’avoir la paix et la sécurité, comme tout le monde.
Le devoir de l’état est de l’assurer en tout point du territoire sans état d’âmes, quels que soient les moyens à mettre en œuvre, sans parler de loi du talion ou d’escalade dans l’horreur.
La police ne fait en la circonstance, que ce pourquoi les contribuables la paient, et c’est très heureux qu’elle le fasse.
Quand Nicolas Sarkozy parle de délinquants, de voyous, de racaille, et de nettoyer ces quartiers au karcher, il a parfaitement raison, les mots sont très bien choisis et correspondent exactement à la situation.
A gauche (mais pas seulement !), on parle de stigmatisation de certaines populations.
De qui se moque t’on ?
Il s’agit de quelques centaines d’individus, peut être de quelques milliers, qui pourrissent l’existence de centaines de milliers d’autres, dans ce qu’on appelle des quartiers difficiles.
Qu’ils soient « blacks, blancs ou beurs », importe peu ce n’est pas le problème.
Le problème est que cette racaille ou cette vermine est une nuisance pour la société et qu’il serait temps de faire quelque chose.
Jospin en 2002, s’est fait éjecter comme un malpropre, en grande partie pour son incapacité à traiter ce problème, si ce n’est pour l’avoir crée par le laxisme dont il a fait preuve avec ses acolytes.
Alors ce n’est pas de calme dont il faut faire preuve, mais de sérénité et détermination.
Je vais surement choquer, je le sais mais :
je pense fondamentalement que la société française n accepte pas en grande majorité (qui s amenuise du fait de l augmentation de la population d origine immigrée) l Homme de couleur ou l Homme non chrétien
Tant que la population d immigrés dans un pays n est pas trop "voyante", ca va.
Tant que cette population fait plus ou moins ce qu on lui dit de faire, ca va.
En vérité, les populations "blanches" ont probablement du mal à accepter le fait de se sentir désormais colonisées par ces populations venues chercher un ailleurs, au détriment de leur propre pays, pour les plus formés d entre eux.
Les populations "blanches" n ont en tete qu une histoire de leur pays où seule leur race etait présente : on ne prepare aucun individu à imaginer que son pays n est plus celui qu on lui presente dans les cours d histoires. TOUT a changé :
plus de roi
plus de religion (eglise catho down…fermeture programmée en vue en France tout au mloins ainsi que dans de nombreux pays)
crise démographique des populations blanches qui prennent conscience que les moins "français" d entre eux, plus ignorants que leurs ouvriers (les immigrés venus d afrique subsaharienne, du maghreb) mettent au monde de nombreux enfants dans la grande majorité des cas
Ces elements entretiennent un sentiment de disparition des populations qui ont accueillies ces immigrés et les ont nourries, au sein d une société développée, fruit du labveur de générations des leurs et du sang de millions de leurs parents sur les divers fronts de guerre de l Europe du XXEme siecle
Ainsi, un français qui réfléchit un peu voit :
30% des naissance bientot d origine mulitculturelle
+ disparition de l eglise (la constitution europeenne refuse la mention des origines judeo chretiennes de l europe)
+ appartition de l islam sur son sol (unique dans l histoire française)
+ disparition des frontieres
+ disparition de la souveraineté
= disparition d une culture multi millénaire
Aucun "immigré de fraiche date" n a bien sur interet a faire prendre conscence de cela au français du coin : il joue lui même sa survie en France
Une vision court terme du développement mondial est donc en train de détruite la civilisation européenne
je poste souvent sur sarko.blogmilitant.com
un site de la critique de sarko
A la lecture des différents articles, je pense qu’il est raisonnable de penser, que les actes illicites doivent être punis fermement. Par contre, quelque chose me gène, il s’agit bien souvent d’acteurs mineurs. Qu’il y ait un problème culturel, d’éducation, surement, mais on peut aussi penser que l’on a perdu la recette de l’intégration. Je pense à la responsabilité parentale ou à sa déchéance.
Je suis démocrate parceque je pense que c’est le système d’organisation le plus performant, mais uniquement si sa poutre maitresse est solide. Je veux parler de l’ascenseur social, qui nous permet d’avoir une élite méritante, surtout capable de réformer (il semble qu’on ait du mal aujourd’hui), de préparer l’avenir. Alors d’accord pour réprimer la délinquance fermement, mais de grace ne nous coupons pas de cette richesse qu’est la jeunesse issue des milieux sociaux pauvres. Mettons en internat les troubles-fête, coupons les de leur foyer et instruisons les, à la baguette si il le faut! Cela n’a-t-il pas fonctionné jusqu’à maintenant?
Qu’on ne se méprenne pas sur mon p^ropos, je ne crois pas qu’il soit moral de faire croire à un mineur que tout lui est permis, alors qu’il ne réclame au fond que de l’attention, comme tous les enfants.
Avec des "y-a-qu’à", on mettrait Paris en bouteille, même avec ses banlieues difficiles…
Quand on est confronté à une situation difficile, on fait d’abord "ce qu’on peut" – au coup par coup, suivant les cas – et ensuite seulement on cherche des solutions pour éviter qu’elle se renouvelle…
En la circonstance, les violences urbaines ont résulté de facteurs complexes, dont les gouvernements successsifs – de droite comme de gauche – n’ont pas suffisamment pris conscience : chômage (surtout chez les jeunes), déstructuration familiale, regroupement dans des cités ou des immeubles- ghettos favorisant le "communautarisme", alors que naguère l’assimilation par "petits groupes" se faisait plus facilement, … sans oublier un "égalitarisme éducatif" brimant les élites et donc une certaine promotion sociale sans pour autant aider efficacement les jeunes en difficulté…
Que faire alors ? Certainement pas décider "d’en haut" quoi que ce soit avec des "grands principes" et des "grands mots", mais "partir du terrain", en encourageant notamment les milieux associatifs et en discutant avec les gens pour savoir ce qu’ils veulent, et en leur donnant des responsabilités…
Avec des "y-a-qu’à", on mettrait Paris en bouteille, même avec ses banlieues difficiles…
Quant on est confronté à une situation délicate, on fait d’abord "ce qu’on peut", et on cherche ensuite des solutions pour éviter qu’elle se renouvelle…
En la circonstance, les violences urbaines résutent de facteurs complexes, dont les gouvernements successifs – de "droite" comme de "gauche", d’ailleurs – n’ont pas suffisamment pris conscience depuis près de…40 ans : effets du chômage (surtout celui des jeunes), déstructuration familiale (avec perte de repères, notamment l’autorité parentale), regroupement d’immigrés dans des immeubles ou des cités – ghettos (favorisant le "communautarisme" et le sentiment d’exclusion alors que naguère l’assimilation par petits groupes se faisait plus facilement), …sans oublier un "égalitarisme éducatif" (brimant le dégagement d’élites et donc de promotion sociale sans pour autant aider efficacement les jeunes en difficulté). Par contre, il ne peut être question de suivre des théories fumeuses sur une France envahie par les immigrés, car depuis l’Antiquité, en raison de sa position à l’extrêmité de la péninsule européenne, elle n’a cessé d’être envahie par des populations diverses, dont…les Francs au 5° siècle ! Et tout ça, comme disait autrefois Maurice Chevalier, a fait de bons …Français…
Que faire alors ?… Certainement pas décider "d’en haut" quoi que ce soit, au nom de "grands principes" et avec des "grands mots"… Mais partir du "terrain", en développant notamment le milieu associatif pour que les gens discutent entre eux, fassent des propositions et prennent des responsabilités…
Veuillez excuser la "répétition" de mon message du 2 janvier, dû à un "incident technique" : 1er message non "pris en compte" et n’ayant pas été porté sur votre blog pendant un long moment, ce qui m’avait fait croire à une erreur d’envoi… D’où le 2ème, un peu complété…
A BERNIQUE : Il est probable que BOEING se réjouisse des malheurs actuels de l’avionneur concurrent mais ce n’est sans doute pas le cas des motoristes et des équipementiers américains qui alimentent encore la haute valeur ajoutée des AIRBUS. Les compagnies aériennes ont également intérèt à la pérennité d’un véritable marché concurrentiel . Mais je crois deviner votre allusion : certains français sont frustrés de ne pas voir la main de l’oncle SAM dans nos déboires de management ou d’organisations d’actionnaires etatiques et privés ? oui ,bien sur , il y a ce sacré dollar mais ce n’est pas la Fédéral bank of america qui gère l’Euro….