Le succès des précédentes journées était généralement attribué à « l’effet Jean-Paul II ».
Les 700.000 personnes réunies ce soir dans la ferveur, à Cologne, autour de Benoît XVI, nous révèlent l’importance de la foi dans nos traditions, notre civilisation judéo-chrétienne qui forge depuis des siècles nos modes de pensée et nos valeurs. Des valeurs d’humanisme, de tolérance, de fraternité qui affirment la primauté de la personne et sa dignité.
Une société humaine ne peut vivre sans dimension spirituelle transcendante. L’attrait pour l’éphémère et le superficiel qui tente notre époque ne peut répondre au besoin de sens qui fait tant défaut aujourd’hui.
Alors que souhaiter pour nos concitoyens sinon la rencontre d’une foi qui les instruit d’amour, de justice et de respect mutuel ? Si une société démocratique doit certes se fonder sur la loi, elle ne peut vivre sans foi, ni sans espérance.
Le XXe siècle qui s’éteint l’a avoué avec trop d’évidence : l’effacement relatif des valeurs appauvrit le coeur de l’homme.
Je crois personnellement en la nécessité d’une relation entre le politique et le religieux pour rappeler, ensemble, aux hommes la part personnelle qu’ils doivent prendre dans la construction d’un monde d’amour, de justice et de paix et dont ils trouveront toujours le secret dans le service des autres.
Alain Lambert
il est quand même rassurant de voir que des personnes d’une vingtaine d’année coirent encore à certaines choses et ne sont pas uniquement attirées par les sirènes enfumées de Mme VOYNET ou le catastrophisme calculé de Besancenot !
Voir tant de personnes pleines d’espérance et de confiance en l’Homme est pour moi réconfortant.
je pense que c’est tout de même Jean-Paul II qui a redonné un sens à tout cela.
lire mon commentaire adressé ce jour, s’il est publié, sur l’article courage et vérité section "général" …
En plus, j’ai été à Montmartre un des responsables de l’évènement JMJ Paris pour avoir une opinion plutôt résrevée sur ces manifestations qui ont trouvé naturellement leur étiage.
Villepin ne sera pas candidat à la présidentielle de 2007
Dominique de Villepin renonce à se présenter en 2007. Le Premier ministre a annoncé mardi qu’il participerait « à sa place » de « chef du gouvernement » à la campagne présidentielle. « Je souhaite bien évidemment de tout coeur contribuer à la…